Hier, les écologistes « antinucléaires »
coupables d’effractions dans le domaine public ont été libérés après avoir été
placés en plusieurs lieux de gardes-à-vue menées avec beaucoup d’égards par les
gendarmeries dûment chapitrées pour veiller à leur droit et confort. Ils sont
sortis, filmés, et leurs déclarations enregistrées avec la plus grande
complaisance des commentaires médiatiques.
On peut comparer ces traitements déférents à l’égard de
ces écologistes-là avec celui, odieux, suivi de la répression que l’on sait,
réservé au défenseur de l’écologie humaine, Nicolas Buss.
Il est vrai que pour la majorité des politiciens, d’une
droite et d’une gauche avortophiles, libéraux, radicaux-socialistes,
communistes et pseudo-écologistes, le respect fondamental de la vie de la
personne humaine, de la conception à la mort, n’est plus la préoccupation. Il
ne compte guère plus que dans les centres d’expérimentation, de manipulation et
d’élimination de l’eugénisme nazi.
L’idéologie raciste visait à l’extermination des Juifs
mais aussi de tous les êtres nés ou à naître ne correspondant pas aux critères
de cet eugénisme.
Aujourd’hui, c’est le même déni d’humanité, mais
mondialisé, qui s’impose désormais presque partout : le libéral-socialisme
des pseudo-droites comme l’écolo-socialisme de toutes les gauches imposent
également l’horreur d’un meilleur des mondes dont le nazisme, sous bien des
aspects, aura été, somme toute, précurseur.
Le déni d’humanité aujourd’hui n’affecte plus seulement
les Juifs, les Tziganes, et les races considérées inférieures comme les noirs
et les slaves. Il nie le concept même et la réalité de l’humanité. La vérité,
c’est que l’enfant mongolien, qui est pourtant lui aussi, comme nous tous, un
être humain dès sa conception, méritant de grandir et de naître comme tout
embryon, et de vivre comme toute personne humaine, n’a pas plus de chance de
survie aujourd’hui sous François Hollande que sous Adolf Hitler.
Mais, habilement, au moment où l’on étend le droit de
tuer l’être humain non conforme, le pouvoir politico-médiatique –Mr Valls au
premier chef - tente de susciter l’émoi en annonçant la mise en garde-à-vue en
Corrèze d’un couple de néo-nazis disposant d’un arsenal de carabines inquiétant
entre leurs mains.
À supposer que ce couple soit réellement animé par une folie idéologique
à visée criminelle, la folie planétairement destructrice du nihilisme
antihumain sévit désormais au sommet du pouvoir politique, dans la loi et chez
tous les médecins de la mort en liberté dans leurs laboratoires et salles
d’élimination.