mercredi 17 juillet 2013

Les raisons de gardes à vue très différentes selon la nature de l’écologie revendiquée.

 Hier, les écologistes « antinucléaires » coupables d’effractions dans le domaine public ont été libérés après avoir été placés en plusieurs lieux de gardes-à-vue menées avec beaucoup d’égards par les gendarmeries dûment chapitrées pour veiller à leur droit et confort. Ils sont sortis, filmés, et leurs déclarations enregistrées avec la plus grande complaisance des commentaires médiatiques.

On peut comparer ces traitements déférents à l’égard de ces écologistes-là avec celui, odieux, suivi de la répression que l’on sait, réservé au défenseur de l’écologie humaine, Nicolas Buss.

Il est vrai que pour la majorité des politiciens, d’une droite et d’une gauche avortophiles, libéraux, radicaux-socialistes, communistes et pseudo-écologistes, le respect fondamental de la vie de la personne humaine, de la conception à la mort, n’est plus la préoccupation. Il ne compte guère plus que dans les centres d’expérimentation, de manipulation et d’élimination de l’eugénisme nazi.

L’idéologie raciste visait à l’extermination des Juifs mais aussi de tous les êtres nés ou à naître ne correspondant pas aux critères de cet eugénisme.

Aujourd’hui, c’est le même déni d’humanité, mais mondialisé, qui s’impose désormais presque partout : le libéral-socialisme des pseudo-droites comme l’écolo-socialisme de toutes les gauches imposent également l’horreur d’un meilleur des mondes dont le nazisme, sous bien des aspects, aura été, somme toute, précurseur.

Le déni d’humanité aujourd’hui n’affecte plus seulement les Juifs, les Tziganes, et les races considérées inférieures comme les noirs et les slaves. Il nie le concept même et la réalité de l’humanité. La vérité, c’est que l’enfant mongolien, qui est pourtant lui aussi, comme nous tous, un être humain dès sa conception, méritant de grandir et de naître comme tout embryon, et de vivre comme toute personne humaine, n’a pas plus de chance de survie aujourd’hui sous François Hollande que sous Adolf Hitler.

Mais, habilement, au moment où l’on étend le droit de tuer l’être humain non conforme, le pouvoir politico-médiatique –Mr Valls au premier chef - tente de susciter l’émoi en annonçant la mise en garde-à-vue en Corrèze d’un couple de néo-nazis disposant d’un arsenal de carabines inquiétant entre leurs mains.

À supposer que ce couple soit réellement animé par une folie idéologique à visée criminelle, la folie planétairement destructrice du nihilisme antihumain sévit désormais au sommet du pouvoir politique, dans la loi et chez tous les médecins de la mort en liberté dans leurs laboratoires et salles d’élimination.