Bernard
Antony, président de l’AGRIF, communique :
J’ai appris que la librairie catholique Saint Jacmes à Bordeaux a fait l’objet pour la vingt-septième fois d’une agression destructrice.
Une
seule fois, le 6 juillet 2010, furent jugés des militants d’extrême-gauche qui,
invoquant l’excuse de l’alcool, furent incroyablement dispensés de peine par le
tribunal correctionnel.
Pareille
impunité constituait évidemment pour certains une incitation à renouveler l’agression.
Les avocats de l’AGRIF, saisis par les courageux libraires, étudient l’action
qui s’impose contre les pouvoirs publics face à leur incapacité coupable
d’assurer la liberté et la sécurité.