Salle
de conférence trop petite hier au soir au Centre Charlier malgré, au même
moment, beaucoup d’autres réunions et manifestations dans Paris.
J’ai
d’abord donné la parole à Jérôme Triomphe, notre avocat principal dans la lutte
d’assistance aux victimes des arrestations arbitraires et de la persécution
politico-policière contre les pacifiques défenseurs de la culture de vie et du
mariage naturel.
Jérôme
a superbement démontré comment, sans cesse, en utilisant l’arrestation
arbitraire et la garde à vue illégale, le gouvernement agit dictatorialement,
poursuivant la mise en place du totalitarisme socialiste.
L’AGRIF,
qui a été la première à lancer le soutien aux réprouvés dans des dizaines et
des dizaines d’affaires, est aussi la seule organisation à poursuivre des
policiers pour violations de la loi.
Il
est heureux qu’aujourd’hui la Manif pour tous, qui, enfin, n’est plus
représentée par l’agitatrice complètement « barjot » de la passion panhomophile,
se porte fortement dans la dénonciation de l’arbitraire et notamment dans le
soutien à Nicolas Bernard-Buss ignoblement incarcéré et persécuté.
Au
même moment les casseurs, cagoulés, équipés des groupuscules
« antifa » ont pu, comme ceux du Trocadéro, semer la terreur, briser
des vitrines, incendier des voitures sans être inquiétés.
Notons
aussi que l’auteur du coup de poing entraînant le décès de Clément Méric
demeure en prison au mépris du fait que l’on sait aujourd’hui que c’est ce
dernier, fanatique et violent agitateur, qui le traquait pour l’agresser avec
la volonté de le « massacrer ».
On
sait par ailleurs qu’Esteban, qui a porté pour sa défense le coup
malheureusement mortel pour Méric, ne correspond guère à la description faite
de lui dans les médias. Paumé peut-être et avec des idées bizarres, d’un
tribalisme symétrique à celui de Méric, il est défendu par un avocat talentueux
que nous connaissons bien, David Dassah, dont je puis dire qu’il est tout aussi
ardemment patriote français que fier de son identité juive. Il est un grand ami
de Jérôme Triomphe et de l’AGRIF et, comme nous, n’a que répulsion pour tout
racisme ou néo-nazisme.
Il
défend Estéban parce que ce dernier n’est pas un assassin mais en vérité la
victime aussi d’un coup malheureux porté pour se défendre.
Hier
au soir étaient là aussi, autour de Vivien Hoch qui a excellemment mené les
débats suivant nos interventions, un groupe important des jeunes veilleurs
français mais aussi d’origine africaine, qui désormais entendent aussi
prolonger leur détermination par un engagement dans l’antiracisme de l’AGRIF
contre les racismes antifrançais et aujourd’hui antihumain.