jeudi 30 mai 2013

Du christianisme « radical » et de l’islam « radical ».


Le christianisme « radical », c’est de tout laisser pour suivre le Christ comme le font les saints, se dépouillant de tout pour le service des autres. Le Christ nous commande : « Aimez-vous les uns les autres ! ». Plus encore : « Aimez vos ennemis ! ». Et aussi : « Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ! ».

Le christianisme « radical » consiste tout simplement à prendre l’Évangile au pied de la lettre, à choisir la radicale pauvreté du Christ et sa paix. Cela s’appelle « l’imitation de Jésus-Christ ».

L’islam, non pas si radical mais « normal », c’est simplement d’imiter le prophète Mahomet, de lui obéir tel qu’appliquant notamment dans son gouvernement à Médine les ordres reçus de Dieu et qu’il a rapportés dans le Coran. C’est admirer et imiter ses « faits et gestes (Hadiths en arabe) tels qu’enseignés dans toutes les mosquées, écoles et universités islamiques et codifiés dans la charia. Aimer Mahomet, c’est admirer l’exemple de l’égorgement du millier de Juifs de Médine, et la distribution à ses guerriers de leurs femmes et enfants.

C’est apprécier l’exemplarité de ses ordres de lapidation des femmes adultères, d’amputation des membres des voleurs, de mise à mort des incroyants et des apostats, de tortures de ceux qui se sont moqués de lui.

C’est cela qui est appliqué strictement de l‘Arabie saoudite à l’Afghanistan. Ce modèle, il est enseigné dans les deux textes sacrés de l’islam, vendus partout. Il suffit de les ouvrir pour vérifier combien la dimension sanguinaire les imprègne.

L’islam un peu plus « radical », c’est d’obéir aux appels et aux ordres de califes ou d’imams lorsqu’ils décident, à l’exemple de Mahomet, le moment venu pour de nouvelles conquêtes par le Jihad selon son acception guerrière.

C’est un islam dans lequel certes on valorise plus « le moment de la guerre » que « la période de la trêve ».

Le problème pour notre monde, c’est que s’il y a certes des chrétiens pour tiédir le message de l’Évangile, il n’y a aucun musulman qui pourrait s’aviser d’édulcorer le Coran ou de déclarer qu’il faudrait expurger le Hadith du tiers de ses textes.

L’islam, ce n’est pas qu’une religion, c’est l’idéologie de la théocratie totalitaire de son prophète. Faut-il être stupide pour refuser la liberté de le critiquer par crainte de l’imputation stupide « d’islamophobie » ! C’est par amour pour les musulmans qu’on voudrait qu’ils se libèrent du carcan de l’islam et trouvent l’amour et la paix du Christ.