Le
christianisme « radical », c’est de tout laisser pour suivre le
Christ comme le font les saints, se dépouillant de tout pour le service des
autres. Le Christ nous commande : « Aimez-vous les uns les
autres ! ». Plus encore : « Aimez vos
ennemis ! ». Et aussi : « Que celui qui n’a jamais
péché jette la première pierre ! ».
Le
christianisme « radical » consiste tout simplement à prendre
l’Évangile au pied de la lettre, à choisir la radicale pauvreté du Christ et sa
paix. Cela s’appelle « l’imitation de Jésus-Christ ».
L’islam,
non pas si radical mais « normal », c’est simplement d’imiter le
prophète Mahomet, de lui obéir tel qu’appliquant notamment dans son
gouvernement à Médine les ordres reçus de Dieu et qu’il a rapportés dans le
Coran. C’est admirer et imiter ses « faits et gestes (Hadiths en arabe)
tels qu’enseignés dans toutes les mosquées, écoles et universités islamiques et
codifiés dans la charia. Aimer Mahomet, c’est admirer l’exemple de l’égorgement
du millier de Juifs de Médine, et la distribution à ses guerriers de leurs
femmes et enfants.
C’est
apprécier l’exemplarité de ses ordres de lapidation des femmes adultères,
d’amputation des membres des voleurs, de mise à mort des incroyants et des
apostats, de tortures de ceux qui se sont moqués de lui.
C’est
cela qui est appliqué strictement de l‘Arabie saoudite à l’Afghanistan. Ce
modèle, il est enseigné dans les deux textes sacrés de l’islam, vendus partout.
Il suffit de les ouvrir pour vérifier combien la dimension sanguinaire les
imprègne.
L’islam
un peu plus « radical », c’est d’obéir aux appels et aux ordres de
califes ou d’imams lorsqu’ils décident, à l’exemple de Mahomet, le moment venu
pour de nouvelles conquêtes par le Jihad selon son acception guerrière.
C’est
un islam dans lequel certes on valorise plus « le moment de la
guerre » que « la période de la trêve ».
Le
problème pour notre monde, c’est que s’il y a certes des chrétiens pour tiédir
le message de l’Évangile, il n’y a aucun musulman qui pourrait s’aviser
d’édulcorer le Coran ou de déclarer qu’il faudrait expurger le Hadith du tiers
de ses textes.
L’islam, ce n’est pas qu’une
religion, c’est l’idéologie de la théocratie totalitaire de son prophète.
Faut-il être stupide pour refuser la liberté de le critiquer par crainte de
l’imputation stupide « d’islamophobie » ! C’est par amour pour
les musulmans qu’on voudrait qu’ils se libèrent du carcan de l’islam et
trouvent l’amour et la paix du Christ.