Parallèlement à l’abomination
anti-humaine du pseudo « mariage homo » et à la poursuite de la
banalisation de l’avortement, la dictature socialiste Hollande-Ayrault
s’apprête à prendre encore de nouvelles mesures d’attaques contre la famille.
Fiscales cette fois.
Autour du président « compagnon » de la
nullissime chroniqueuse de Paris-Match, au doux nom de Trier-Weiller (je
croyais que c’était une race de chien !) on est favorable à un lourd abaissement du plafond du quotient
familial. On augmentera ainsi la charge de l’impôt pour ces familles
rétrogrades qui persistent à faire naître des enfants.
Dans l’équipe du premier ministre
à glabre visage de Fantômas, on aimerait mieux réduire les allocations
familiales. Rassurez-vous, si l’on peut dire, ils se mettront d’accord :
ils feront successivement les deux ! Ce qui sera bien sûr socialement
pervers et économiquement inepte. Il ne faut pas être grand clerc pour
comprendre que cela participe de l’instinct de mort guidant l’idéologie de ce
que j’ai désigné jadis comme le génocide français.
Le secret du socialisme fut
parfaitement énoncé au siècle dernier par le grand penseur russe Igor
Chafarevitch dans son ouvrage « Le phénomène socialiste ». À
la page 323 il écrit : « La mort de l’humanité n’est pas seulement
le résultat concevable du triomphe du socialisme, elle constitue le but du
socialisme ». Chafarevitch ajoutait qu’avant lui, cette idée était
déjà contenue dans la « Légende du Grand Inquisiteur » de
Dostoïevski. Ce dernier faisait prophétiquement dire à son personnage satanique
« Il faut écouter l’esprit profond, cet esprit de mort et de ruine, et,
pour ce faire, admettre le mensonge et la fraude, mener sciemment les hommes à
la mort, en les trompant durant toute la route pour leur cacher où on les
mène ».
Ajoutons qu’il faut aussi comprendre que le libéralisme
mondialiste, qui vise à un étatisme totalitaire et planétaire n’est qu’un des
sous-produits de l’idéologie du socialisme moderne. Considérer la réalité du
communisme capitaliste chinois aide bien à saisir cela.