Oui, je l’avoue, à l’écoute des radios je suis vraiment
ému aujourd’hui du « mariage » des deux tourtereaux (je ne dis pas
tournedos !) de Montpellier.
Je
n’ose pas aller jusqu’à dire : « Qu’ils soient heureux et fassent
beaucoup d’enfants ! »Néanmoins je les imagine ce soir si heureux, si
gays après la si belle consécration idéologique, politique et médiatique de
leur tendresse sodomite.
J’ai
écouté à 13 h 30 l’expression émouvante de la joie de Frigide Barjot commentant
l’événement, toute énamourée.
Oui,
vraiment, merci Frigide, d’avoir encore ainsi exprimé tout le juste mépris dans
lequel tu tenais la masse des imbéciles qui, sans t’écouter ni te comprendre,
croyaient que tu étais l’indécente militante du combat contre le
« mariage » homo. Tu as su splendidement exprimer combien était
abject ce que tu as justement dénigré comme l’indigne péché d’homophobie. Avec
toi, nous avons appris combien, sans craindre l’accusation d’homolâtrie, sans
peur de l’homocratie, l’homophilie était un beau sentiment de fraternité
citoyenne, républicaine, jacobine et phrygienne.
Quant
aux pauvres imbéciles qui n’avaient pas voulu te voir et t’entendre comme tu
étais, toi la bonne « fille à pédés », et qui se sentent à cause de
toi cocus, qu’ils aillent donc jérémier auprès des dirigeants et conseillers de
la Manif. Car eux savaient bien tout de même qui tu étais et ce que tu finirais
bien par exprimer de fil homophile en aiguille si bellement homolangoureuse.
Gaulois Lejoyeux