mercredi 29 mai 2013

À l’écoute de Montpellier ce jour et de Frigide.


Oui, je l’avoue, à l’écoute des radios je suis vraiment ému aujourd’hui du « mariage » des deux tourtereaux (je ne dis pas tournedos !) de Montpellier.

Je n’ose pas aller jusqu’à dire : « Qu’ils soient heureux et fassent beaucoup d’enfants ! »Néanmoins je les imagine ce soir si heureux, si gays après la si belle consécration idéologique, politique et médiatique de leur tendresse sodomite.

J’ai écouté à 13 h 30 l’expression émouvante de la joie de Frigide Barjot commentant l’événement, toute énamourée.

Oui, vraiment, merci Frigide, d’avoir encore ainsi exprimé tout le juste mépris dans lequel tu tenais la masse des imbéciles qui, sans t’écouter ni te comprendre, croyaient que tu étais l’indécente militante du combat contre le « mariage » homo. Tu as su splendidement exprimer combien était abject ce que tu as justement dénigré comme l’indigne péché d’homophobie. Avec toi, nous avons appris combien, sans craindre l’accusation d’homolâtrie, sans peur de l’homocratie, l’homophilie était un beau sentiment de fraternité citoyenne, républicaine, jacobine et phrygienne.

Quant aux pauvres imbéciles qui n’avaient pas voulu te voir et t’entendre comme tu étais, toi la bonne « fille à pédés », et qui se sentent à cause de toi cocus, qu’ils aillent donc jérémier auprès des dirigeants et conseillers de la Manif. Car eux savaient bien tout de même qui tu étais et ce que tu finirais bien par exprimer de fil homophile en aiguille si bellement homolangoureuse.

Encore une fois, merci Frigide, et que vienne enfin l’heure de l’échafaud pour ces salauds de fachos !

Gaulois Lejoyeux