mardi 29 janvier 2013

Non au racisme antireligieux, non à la Torah-phobie du totalitarismeLGBT-OGM ! Oui à un référendum sur le nihiliste projet de loi taubiresque.


Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

 Malgré la mobilisation et les moyens énormes des partis et syndicats de gauche et d’extrême-gauche, et de la myriade d’associations « citoyennes », pseudo-culturelles, « gays et lesbiennes » subventionnées et même, grâce, juste au moment, à une providentielle politique de tarifs dérisoires de la SNCF ; malgré encore l’appui scandaleux au lobby LGBT-OGM d’administrations et de grandes entreprises, et sans oublier celui de richissimes  prosélytes tel l’indécent milliardaire Pierre Bergé, pour qui l’on doit pouvoir louer des ventres de femmes comme des bras de manœuvres, la manifestation en faveur du projet de loi pour instituer un pseudo-mariage entre individus de même sexe n’a réuni que le tiers de celle des défenseurs du mariage naturel du couple humain.

Cette manifestation conduite notamment par Jack Lang, Pierre Bergé, la ministre Duflot, a constitué un pitoyable moment d’expression de la haine antireligieuse des néo-sans-culottes du lobby LGBT-OGM contre la loi naturelle, pour beaucoup dans une grande frénésie d’exhibition de pancartes d’exaltation de la sodomie qu’ils affectionnent et de haine contre l’hétérosexualité.

On a pu constater, bien réellement en l’occurrence, maintes manifestations d’une véritable phobie, car passionnée, véhémente, hors de toute rationalité, contre la morale judéo-chrétienne de la Bible.  Nos amis juifs fidèles à la loi de Moïse ont constaté ainsi le surgissement d’une indéniable « Torah-phobie ».

On observe ainsi la montée d’un racisme non seulement anti-judéo-chrétien, mais à vrai dire anti-humain dans la poursuite d’une entreprise nihiliste de désintégration familiale et sociale, de substitution à la société d’une dissociété, dans le refus, comme l’a exprimé dans Le Monde la Fraternelle maçonnique Cambacérès, d’un contrat social fondé sur les lois de Dieu ou de la nature, mais affirmant qu’il ne saurait en être établi que sur le seul fondement de l’hédonisme individualiste.

Ainsi, après avoir d’abord revendiqué le droit à la différence homosexuelle, puis celui à l’égalité, le lobby très structuré LGBT-OGM entend dicter désormais prétendument et mensongèrement,  au nom de tous les homosexuels, son idéologie et ses lois. Il instaure la police de la pensée du « meilleur des mondes » du néo-totalitarisme homocratique. S’acharnant à l’évidence à régler un compte millénaire avec la morale de la Bible et le Dieu destructeur de Sodome et Gomorrhe, il entend soumettre les religions à une prétendue éthique de non-discrimination, annonçant en maints pays sa détermination fanatique à faire condamner les religions qui, par principe spirituel et moral évident, refuseraient l’accès au sacerdoce d’homosexuels pratiquants.

Ce féroce néo-totalitarisme mondialiste engendre déjà en maints pays de nouvelles persécutions contre les personnes refusant de placer leur enseignement ou leur responsabilité dans la soumission à ses diktats.
Le moment vient où, comme hier en France sous la Convention jacobine, en Allemagne nazie, en URSS ou en Chine populaire, ne seront plus tolérés que les religieux et les fonctionnaires assermentés.


On y condamnera pour délit d’homophobie, tout comme jadis les nazis persécutaient les personnes taxées d’aryanophobie, et les communistes celles coupables de soviétophobie.

Oui, il faut bien comprendre aujourd’hui que le projet de loi sur le pseudo « mariage pour tous » n’est qu’une étape dans le projet totalitaire et liberticide du Big Brother LGBT-OGM.

Voilà pourquoi, même s’il est aberrant de devoir mettre aux voix une chose aussi naturelle que le mariage entre l’homme et la femme, la revendication d’un référendum, pour l’heure voie de recours démocratique contre la dernière monstruosité idéologique des temps modernes, s’impose.

Car l’histoire enseigne que la démocratie totalitaire n’admet jamais l’élection libre mais uniquement celle dûment contrôlée par sa propagande et ses polices.

Pour le moment, tant qu’il demeure un peu de liberté, il faut exiger ce référendum que le Big Brother LGBT-OGM n’est pas du tout assuré de gagner. Car, comme toujours l’idéologie totalitaire se heurte à l’alliance du bon sens moral et de l’esprit de liberté naturellement majoritaire dans le pays réel, dans le peuple encore libre.