lundi 5 novembre 2012

Quelques considérations supplémentaires sur la « supercherie » gay du pseudo-mariage.


Le franc-parler du Cardinal André Vingt-Trois :

Comme je l’avais exprimé il y a peu dans un communiqué du 25 octobre, on ne pouvait que manifester une totale adhésion aux prises de position des autorités religieuses françaises, celle de l’épiscopat catholique comme celle du grand rabbinat israélite.

Il est tout de même vrai que toute autre attitude eut signifié une apostasie de la foi en un Dieu créateur et le mépris des lois de Sa création. Mais ce dont il faut savoir gré au cardinal Vingt-Trois, c’est de la fermeté courageuse de ses mots. Ils sont totalement à l’opposé de ceux qu'emploient les « tièdes » dont le Christ annonce selon l’Apocalypse : « Je les vomirai de ma bouche ! »

Le cardinal Vingt-Trois a justement qualifié de « supercherie » le projet de loi du gouvernement. Il s’agit en effet, faut-il le rappeler, d’une véritable inversion du respect de la dignité de la personne humaine, manifestant une haine révolutionnaire, nihiliste, que les croyants peuvent clairement comprendre à la lumière du cri de révolte contre Dieu de Satan, « le père du mensonge ».


Une paire homosexuelle pouponnante.

On m’envoie sur internet la photographie de propagande gay montrant la joie de deux hommes homosexuels pouponnant un joli bébé. On me demande ma réaction. Je retiens les mots qui affluent en moi. Un seul suffira : vomitoire !

En pareil cas, on peut d’ailleurs légitimement se demander lequel des « compaires » fait le mâle et lequel fait la femelle ?

Dans les traités d’analyse des pratiques « amoureuses » de l’homosexualité (qui remontent à la littérature antique et aux dessins des vases grecs et fresques romaines !). On distingue bien sûr la spécificité de la féminine et de la masculine. Dans cette dernière, la pratique sodomite, telle que d’ailleurs crûment explicitée encore, dessins à l’appui, dans les documents de propagande pour le salut par le préservatif des ministères de la santé… et de l’éducation… est absolument généralisée.

Et dans les enquêtes mais aussi une infinité de récits biographiques, historico-sociologiques et romans réalistes, on vérifie également qu’il y a le plus fréquemment dans les duos homos celui qui "fait le mâle" et celui qui "sert de femelle". Il y a aussi sur le sujet tout un riche argot du milieu. (C’est le cas de le dire…)

On comprend alors que certains prosélytes du soi-disant « mariage » des gays et de l’adoption d’enfants par eux en viennent à appuyer leurs revendications en envisageant de préciser devant monsieur le maire qui sera le papa et qui la maman. Diable, que cela serait émouvant !