Le franc-parler du
Cardinal André Vingt-Trois :
Comme je l’avais exprimé il y a peu dans un communiqué
du 25 octobre, on ne pouvait que manifester
une totale adhésion aux prises de position des autorités religieuses
françaises, celle de l’épiscopat catholique comme celle du grand rabbinat
israélite.
Il est tout de même vrai que toute autre attitude eut
signifié une apostasie de la foi en un Dieu créateur et le mépris des lois de
Sa création. Mais ce dont il faut savoir gré au cardinal Vingt-Trois, c’est de
la fermeté courageuse de ses mots. Ils sont totalement à l’opposé de ceux qu'emploient
les « tièdes » dont le Christ annonce selon l’Apocalypse : « Je les vomirai de ma bouche ! »
Le cardinal Vingt-Trois a justement qualifié de « supercherie »
le projet de loi du gouvernement. Il s’agit en effet, faut-il le rappeler, d’une
véritable inversion du respect de la dignité de la personne humaine,
manifestant une haine révolutionnaire, nihiliste, que les croyants peuvent
clairement comprendre à la lumière du cri de révolte contre Dieu de Satan, « le
père du mensonge ».
Une paire homosexuelle
pouponnante.
On m’envoie sur internet la photographie de propagande gay
montrant la joie de deux hommes homosexuels pouponnant un joli bébé. On me
demande ma réaction. Je retiens les mots qui affluent en moi. Un seul suffira :
vomitoire !
En pareil cas, on peut d’ailleurs légitimement se demander lequel
des « compaires » fait le mâle et lequel fait la femelle ?
Dans les traités d’analyse des pratiques « amoureuses »
de l’homosexualité (qui remontent à la littérature antique et aux dessins des
vases grecs et fresques romaines !). On distingue bien sûr la spécificité
de la féminine et de la masculine. Dans cette dernière, la pratique sodomite,
telle que d’ailleurs crûment explicitée encore, dessins à l’appui, dans les
documents de propagande pour le salut par le préservatif des ministères de la
santé… et de l’éducation… est absolument généralisée.
Et dans les enquêtes mais aussi une infinité de récits
biographiques, historico-sociologiques et romans réalistes, on vérifie
également qu’il y a le plus fréquemment dans les duos homos celui qui "fait le mâle" et celui qui "sert de femelle". Il y a aussi sur le sujet tout un
riche argot du milieu. (C’est le cas de le dire…)
On comprend alors que certains prosélytes du soi-disant « mariage »
des gays et de l’adoption d’enfants par eux en viennent à appuyer leurs
revendications en envisageant de préciser devant monsieur le maire qui sera le
papa et qui la maman. Diable, que cela serait émouvant !