Bernard Antony,
président de l’Institut du Pays Libre, communique :
19
mars : en faire une journée de la honte !
Promoteurs
de toutes les inversions législatives de
déstructuration sociale, le gouvernement et sa majorité sont également dans une
abjecte continuité d’utilisation de la désinformation historique au profit
d’une systématisation de repentance-trahison.
Ainsi ils voudraient commémorer le 19 mars 1962, jour du
soi-disant « cessez-le-feu » en
Algérie.
Ce jour ne fut en effet que
celui du « cessez-le-feu » pour notre armée mais pas pour les
terroristes et tortionnaires fellaghas qui eurent désormais toute liberté pour
tuer, enlever, violer, faire subir les pires abominations à des milliers de nos
compatriotes pieds-noirs, notamment à des centaines de femmes aux destinées atroces ; et comme elles, dans cette immense
tragédie, le sort de nos compatriotes harkis génocidés par dizaines de milliers et selon les délires sadiques de leurs bourreaux : ébouillantés, énucléés, émasculés,
dépecés, enterrés vivants.
Crimes contre l’humanité accomplis sans qu’ait pu
intervenir, sauf les objections de conscience et les sursauts d’honneur, une
armée française se voyant imposer un ordre déshonorant de confinement dans les
casernes.
Il faudra donc, avec le
Mémorial de l’Honneur Français, qu’en réplique à l’abomination de la
commémoration officielle soient partout organisées des manifestations à la
mémoire des victimes et de solidarité
nationale avec les communautés endeuillées, les rescapés, les proches des
victimes et avec ceux qui eurent, au prix de leur carrière, l’honneur de ne pas
accepter des ordres infâmes.