vendredi 9 novembre 2012


Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :

 19 mars : en faire une journée de la honte !

 Promoteurs de toutes les inversions législatives de déstructuration sociale, le gouvernement et sa majorité sont également dans une abjecte continuité d’utilisation de la désinformation historique au profit d’une systématisation de repentance-trahison.

Ainsi ils voudraient commémorer le 19 mars 1962, jour du soi-disant « cessez-le-feu » en Algérie.

Ce jour ne fut en effet que celui du « cessez-le-feu » pour notre armée mais pas pour les terroristes et tortionnaires fellaghas qui eurent désormais toute liberté pour tuer, enlever, violer, faire subir les pires abominations à des milliers de nos compatriotes pieds-noirs, notamment à des centaines de femmes aux destinées atroces ; et comme elles, dans cette immense tragédie, le sort de nos compatriotes harkis génocidés par dizaines de milliers et selon les délires sadiques de leurs bourreaux : ébouillantés, énucléés, émasculés, dépecés, enterrés vivants.

Crimes contre l’humanité accomplis sans qu’ait pu intervenir, sauf les objections de conscience et les sursauts d’honneur, une armée française se voyant imposer un ordre déshonorant de confinement dans les casernes.

Il faudra donc, avec le Mémorial de l’Honneur Français, qu’en réplique à l’abomination de la commémoration officielle soient partout organisées des manifestations à la mémoire des victimes et de solidarité nationale avec les communautés endeuillées, les rescapés, les proches des victimes et avec ceux qui eurent, au prix de leur carrière, l’honneur de ne pas accepter des ordres infâmes.