Crimes et châtiments…
D’un côté, voici un gouvernement qui, hélas, avec l’assentiment
quasi unanime des 103 députés présents dans l’hémicycle lors du vote du 26
octobre (97 voix pour ; 6 voix – UMP – contre), a encore accompli un « progrès »
significatif dans le remboursement du meurtre légal par avortement appelé IVG,
désormais porté à 100 % et ce avec les cotisations de tous les contribuables.
De l’autre, voilà que les mêmes partisans de l’extirpation
criminelle des enfants du ventre de leur mère revendiquent le remboursement de
l’insémination artificielle et de la « procréation médicalement assistée »
pour les couples de lesbiennes masculinophobes exigeant d’avoir des enfants
sans passer par le rapprochement sexuel naturel, horrible pour elles.
Ainsi on nous fait payer pour supprimer chaque année le droit
de naître de quelques deux cent mille enfants dans le sein de leur mère, mais
on va payer aussi pour faire naître des enfants dont les porteuses ne veulent
pas connaître l’horreur de l’amour naturel désormais classé comme « hétérosexuel ».
Mais on peut être hélas sûr que la folie de la manipulation
de la vie ne s’arrêtera pas là : la grande prophétesse Elisabeth Badinter
n’a-t-elle pas en effet annoncé que l’heure vient où les hommes pourront enfin
accoucher ? Grâce à ces subterfuges génitaux-chirurgicaux que permettront
encore bientôt les progrès d’une médecine conçue non pas seulement pour soigner
mais pour aller toujours plus loin (en anglais : go more !) dans l’orgueilleux
défi à Dieu d’un homme qui se veut désormais à la fois à son gré destructeur et
créateur.
La vérité, c’est que les « alpha-plus » dominateurs
du Meilleur des Mondes sont devenus fous et font faire de plus en plus de la
planète une ménagerie d’humanoïdes dominée par des pervers et des cinglés.
Quelle jouissance pour une Taubira que de faire légiférer sur
tout cela et pour une Valaud-Belkacem que de pouvoir brandir, telle Jupiter,
les foudres de la police de l’antiracisme LGBT, le domaine enfin, le seul, où
la France va pouvoir s’enorgueillir d’être la première.