Le massacreur
de Lille : mais pourquoi donc les media ne disent-ils pas son nom ?
Le massacreur de Lille est, nous
dit-on, identifié.
On a même vu une photographie de sa
fiche signalétique de police. Mais ce matin encore, dans les journaux et à la
radio, on ne dit pas son nom.
Alors que dans la même période,
dans ma région, de Midi-Pyrénées, les média étalent tout de l’identité et de la
vie de quelques jeunes gens d’un groupuscule « d’extrême-droite » mis
en garde à vue à la suite d’une stupide bagarre avec un groupuscule d’extrême-gauche
ayant entraîné une mauvaise chute pour un révolutionnaire chilien « antifasciste »
manieur de barre de fer.
Le massacre de Lille est
autrement grave. Pourquoi alors cette occultation prolongée de l’identité de
son auteur ?
Toulouse
toujours : l’affaire Mohamed Mehra.
L’AGRIF, comme nous l’avions dit, s’est portée partie civile
et notre avocat a eu ainsi un premier accès au dossier du tueur. On découvre
semble-t-il de bien curieuses choses dans l’évocation de ses activités
touristiques. Nous en reparlerons.
Lecture d’aéroport :
les « alpha-plus » de la tribu Strauss-Khan.
L’attente d’un ami à l’aéroport de Toulouse dont le vol était
fortement retardé m’incite à feuilleter et acheter deux livres. L’un pour
consommer aussitôt mon temps d’attente, l’autre que j’ai lu hier au soir avec
attention.
Le premier, édité chez Albin Michel, s’appelle « Les
Strauss-Khan », signé de Rapaëlle Bacqué et d’Ariane Chemin. Son intérêt
ne réside pas du tout dans l’évocation d’ailleurs sans recherche égrillarde des
obsessions et turpitudes du sieur DSK, déjà traitées dans des cataractes médiatiques.
Non, l’intérêt réside dans la description de toute une gauche immensément
riche, pas tellement des « bobos » mais des nababs se recevant dans
leurs résidences princières de Paris, Marrakech, Jérusalem, New-York et autres
lieux au Mexique ou en Chine.
C’est le monde de la star Anne Sinclair, de son ancien mari
Yvan Levaï, des Kouchner, des Minc, des Badinter, des Jean-François Kahn, de
Jean Frydman…
C’est le monde de « DSK-Consultants » puis des
adhérents du « Cercle de l’Industrie » fondé par le même DSK qui n’avait
pas alors assez d’argent pour payer les pensions alimentaires de ses anciennes
épouses. Vincent Bolloré, Maurice Lévy, (Renault), Louis Gallois
(Aérospatiale), et bien d’autres de la fine fleur du patronat s’acquittant d’un
ticket d’entrée de 200 000 francs.
Avec ce formidable outil de « lobbying » et ses
notes d’honoraires à la MNEF et autres officines tenues par les si dévoués militants
trotskystes, DSK pourra alors ne plus tout à fait apparaître comme un pauvre
SDF à côté de la richissime épouse qu’il ravira à ce bon diable d’Yvan Levaï,
qui ne lui en tiendra pas rigueur. À côté du somptueux palais de Bernard-Henri
Lévy dans la médina à Marrakech, à quelques pas d’une des nombreuses résidences royales, le
couple Strauss-Khan, bien conseillé, va aménager au prix de deux ans de travaux
pharaoniques une fastueuse résidence intégrant deux riads décorés avec les
matériaux les plus précieux du savoir-faire marocain. Là, ils reçoivent
décemment dans la magnificence de la cuisine orientale leurs amis comme Patrick
Bruel, Michel Field, l’avocat Jean Veil, le président de la région Ile-de-France
Jean-Paul Huchon et autres socialistes et anciens militants trotskystes ou
maoïstes.
Martine Aubry, reçue elle aussi avec son dernier mari, l’avocat
musulman Brochen, sera au début un peu interloquée par le faste, mais s’y fera
vite. Néanmoins, elle suggèrera à DSK de créer une fondation à but social,
histoire de montrer sa générosité de socialiste égalitariste.
Mais je m’arrête là. Vous l’avez compris, l’intérêt du
bouquin réside dans le fait que, sans théoriser sur la super-classe mondialiste
des « alpha-plus », il en offre, si besoin était, la preuve de la
réalité. Une réalité que ne voient ou ne veulent pas voir les ploucs de la base
populo-socialiste.
D’Igor et
Grichka Bogdanov : « La pensée de Dieu ».
C’est la narration de ce que depuis un siècle les plus grands
mathématiciens et physiciens se sont émerveillés devant la constatation que le
monde est organisé, calculé, réglé, pensé.
La postface de Luis Gonzales-Mestres, chercheur au CNRS, a
quelque chose de dérisoire.
Pour respecter « l’idéologiquement, le scientifiquement
correct », il s’évertue à affirmer que le Dieu des savants n’a rien à voir
avec celui de la religion. S’il avait seulement lu la Genèse, il saurait que le
Dieu de la Bible est non seulement Celui des grandes lois qui régissent les
particules et les univers, mais Celui qui, par-delà tous les infinis et les
mystères de l'énergie et de la vie, a créé des êtres conscients et dans
lesquels Il se révèle.
Les frères Bogdanov exposent combien finalement les grands
génies de nos sciences ont vérifié l’affirmation de Saint Augustin : « Les Nombres sont la preuve de Dieu ».
À laquelle il faut ajouter : mais aussi tout ce qui est au-delà des
Nombres.