Un totalitarisme sous le couvert d’un autre.
Pour la première fois dans
l’histoire de France, le vote musulman, de par son importance numérique, a été
déterminant dans une élection. Tous les analystes l’ont noté. Sept cent imans avaient
appelé à voter Hollande et le vote des musulmans en sa faveur a été, selon les
instituts de sondage, de l’ordre de 90%.
Il a été décisif. Ce vote n’a pas fondamentalement exprimé
une adhésion au programme socialiste. Il a été un vote en faveur des intérêts
de l’oumma islamique qui établit naturellement son ordre communautaire sur des
espaces de société de plus en plus grand selon le modèle de Mahomet à Médine.
L’islam se développe ainsi,
lentement, démographiquement, sûrement. Aujourd’hui, encore minoritaire, il ne
revendique que la liberté d’application de ses « cinq piliers » (la
profession de foi, la prière, le jeûne, le pèlerinage, l’aumône.) et de ses
pratiques de vie individuelle et collective.
Mais comme toujours et partout,
c’est vers l’application générale de la charia qu’il tendra. Et certes il est
prévu pour les croyants juifs ou chrétiens un statut de tolérance plus ou moins
douce, la dhimmitude. Pour les autres, ce sera plus compliqué… Allez donc voir
ce qu’il en est en Bosnie et au Kosovo.
Alors, que faire ? Eh bien
tout simplement connaître, critiquer et réfuter l’islam. Faire lire le coran et
faire réfléchir sur ses aberrations et ses violences. Et puis surtout, il faut
aimer les musulmans et leur ouvrir les portes de la conversion au Christ. Pour
cela il faut soutenir des associations comme Notre Dame de Kabylie fondée par
notre merveilleux ami Mohamed Christophe Bilek.
N.B. Je pars demain pour quelques
jours à Rome où je vais notamment retrouver les amis de Chrétienté-Solidarité
dans la marche pour la vie qui est organisée, et avancer le projet de création
d’une sœur italienne de l’Agrif.
Je serai mercredi 16 à Paris pour
l’émission de Radio-Courtoisie où j’ai convié notre ami Reynald Secher le grand
historien du génocide vendéen et de l’enchaînement génocidaire et aussi
monsieur l’abbé Ribeton, supérieur de la Fraternité saint Pierre, pour
commenter l’actualité de l’Église catholique. Avec nous bien sûr, Jeanne Smits,
Cécile Montmirail et Pierre Henri.