mercredi 9 mai 2012


Un totalitarisme sous le couvert d’un autre.

Pour la première fois dans l’histoire de France, le vote musulman, de par son importance numérique, a été déterminant dans une élection. Tous les analystes l’ont noté. Sept cent imans avaient appelé à voter Hollande et le vote des musulmans en sa faveur a été, selon les instituts de sondage, de l’ordre de 90%.
Il a été décisif. Ce vote n’a pas fondamentalement exprimé une adhésion au programme socialiste. Il a été un vote en faveur des intérêts de l’oumma islamique qui établit naturellement son ordre communautaire sur des espaces de société de plus en plus grand selon le modèle de Mahomet à Médine.
L’islam se développe ainsi, lentement, démographiquement, sûrement. Aujourd’hui, encore minoritaire, il ne revendique que la liberté d’application de ses « cinq piliers » (la profession de foi, la prière, le jeûne, le pèlerinage, l’aumône.) et de ses pratiques de vie individuelle et collective.
Mais comme toujours et partout, c’est vers l’application générale de la charia qu’il tendra. Et certes il est prévu pour les croyants juifs ou chrétiens un statut de tolérance plus ou moins douce, la dhimmitude. Pour les autres, ce sera plus compliqué… Allez donc voir ce qu’il en est en Bosnie et au Kosovo.
Alors, que faire ? Eh bien tout simplement connaître, critiquer et réfuter l’islam. Faire lire le coran et faire réfléchir sur ses aberrations et ses violences. Et puis surtout, il faut aimer les musulmans et leur ouvrir les portes de la conversion au Christ. Pour cela il faut soutenir des associations comme Notre Dame de Kabylie fondée par notre merveilleux ami Mohamed Christophe Bilek.

N.B. Je pars demain pour quelques jours à Rome où je vais notamment retrouver les amis de Chrétienté-Solidarité dans la marche pour la vie qui est organisée, et avancer le projet de création d’une sœur italienne de l’Agrif.
Je serai mercredi 16 à Paris pour l’émission de Radio-Courtoisie où j’ai convié notre ami Reynald Secher le grand historien du génocide vendéen et de l’enchaînement génocidaire et aussi monsieur l’abbé Ribeton, supérieur de la Fraternité saint Pierre, pour commenter l’actualité de l’Église catholique. Avec nous bien sûr, Jeanne Smits, Cécile Montmirail et Pierre Henri.