mercredi 19 octobre 2011

Du côté de l'AGRIF...

TRISTE, TRISTE…
Notre procès en référé au Tribunal de Paris contre l’abomination scatologique au Théâtre de la Ville intitulé « Sur le concept du visage du Fils de Dieu » avec un débordement d’excréments sur ce visage accompagnés d’odeurs de synthèse diffusées dans la salle pour les malades mentaux qui regardent ce spectacle, nous l’avons perdu.

Mais nous l’aurons mené une fois encore pour notre honneur. Les défenseurs de l’abjection, une fois encore aussi, auront trouvé un misérable prêtre pour venir soutenir l’insoutenable.
J’écrirai un jour la mémoire de ces trahisons ecclésiastiques.


SUPERBE SOIRÉE AGRIF À TROYES.
Comme je viens de l’écrire, il n’y a pas que des heures agréables dans notre combat. Surtout lorsque la justice considère comme non répréhensibles les pires offenses antichrétiennes qui sont aussi pour le moins des insultes à la dignité humaine et des incitations au sadisme.

Alors je ne cache pas ma joie lorsqu’une assemblée importante, amicale, chaleureuse, nous encourage et nous incite, s’il en était besoin, à continuer. C’était le cas hier au soir à Troyes. Notre ami Jean-Louis Chaton, personnalité de la ville, m’avait invité à parler des combats de l’AGRIF sous l’égide de son association le Carep (Comité d’Action pour le Respect de l’État de Droit). Dans la très belle salle de la Maison des Associations se pressaient plus de cent cinquante participants. Parmi eux, un adjoint au maire de Troyes, des maires de communes voisines, de fervents militants de l’AGRIF et de Chrétienté-Solidarité.

À noter aussi que nous avions eu le soutien très amical du prêtre desservant l’église accordée pour ce que l’on appelle « le rite extraordinaire » et que je préfère pour ma part simplement désigner comme le rite traditionnel de l’Église latine.

À noter aussi qu’il y avait des militants du Front National que j’ai eu plaisir à revoir, du MIL, et aussi de Riposte Laïque.

J’ai parlé des vrais racismes et de la perversion nihiliste du soi-disant antiracisme, et surtout de l’islam que l’on a le devoir de connaître, de critiquer et de refuser. J’avais la forme des bons jours. La salle ne m’a pas mesuré son soutien enthousiaste et unanime. Elle a particulièrement vibré lorsque j’ai exprimé avec force que notre modèle politique et social, ce n’était pas celui de la théocratie totalitaire de l’islam, que ce soit sous les formes des régimes saoudien, iranien, pakistanais, turc, égyptien et autres. Nous ne voulons pas de cela pour la France, nous ne voulons pas subir le sort du Kosovo, nous ne voulons pas subir la rééducation vengeresse de Madame Houria Bouteldja et de ses amis de « Nique la France ».

Le débat s’est longuement poursuivi avec des interventions très pertinentes et convergentes. Et malgré l’heure, personne ne quittait la salle. Je suis reparti avec mon énorme valise à roulettes bien légère, déchargée de tous mes livres et du gros paquet des publications de l’AGRIF.

Une soirée parfaite donc, superbement organisée. Qui fera mieux ? Le concours est ouvert.