Comme nous le faisions remarquer il y a quelques jours, le pouvoir algérien, pourtant si prompt à revenir sur l’histoire de la présence française et de la guerre en Algérie pour la travestir, voit d’un très mauvais œil la réouverture du dossier sur le massacre de Tibéhirine en 1996.
Le porte-parole du parti gouvernemental a ainsi qualifié les récentes révélations sur cette affaire de "nouvelle provocation à l'égard de l'Algérie", laquelle a souffert des affres du terrorisme "dans le silence des uns et la complicité des autres".
Un autre responsable politique algérien s’étonne que l’on "exhume" un dossier sur un tel sujet au moment où l’on cherche à rapprocher la France et l’Algérie. Ces propos sont absolument ahurissants venant des amis de M. Bouteflika qui ne manque jamais une occasion de salir publiquement la France et son armée en révisant l’histoire.
Yann Baly
Le porte-parole du parti gouvernemental a ainsi qualifié les récentes révélations sur cette affaire de "nouvelle provocation à l'égard de l'Algérie", laquelle a souffert des affres du terrorisme "dans le silence des uns et la complicité des autres".
Un autre responsable politique algérien s’étonne que l’on "exhume" un dossier sur un tel sujet au moment où l’on cherche à rapprocher la France et l’Algérie. Ces propos sont absolument ahurissants venant des amis de M. Bouteflika qui ne manque jamais une occasion de salir publiquement la France et son armée en révisant l’histoire.
Yann Baly