jeudi 30 avril 2009

Un virus coranniquement incorrect.

La grippe mexicaine d’origine porcine risque de faire plus de victimes chrétiennes que musulmanes en Égypte. Le virus grippal tombe à point nommé pour justifier une nouvelle campagne anti-chrétienne. Dans ce pays les musulmans prennent prétexte du risque de pandémie grippale pour stigmatiser les éleveurs de porcs qui sont tous chrétiens. Or le virus ne se transmet que d’homme à homme et par voie aérienne, rien à voir avec l’élevage de ces délicieux ongulés. Il ne s’agit donc que d’un nouveau prétexte afin de persécuter un peu plus les coptes déjà régulièrement victimes de pogroms orchestrés par les musulmans. Or l’Égypte est le pays qui connaît le plus de victimes de la grippe aviaire, les Égyptiens ont-ils pour autant stigmatisé les musulmans éleveurs de poulets ? Que nenni ! Nous en concluons logiquement que pour les musulmans égyptiens il existe des virus grippaux coranniquement corrects et des virus grippaux coranniquement incorrects. Si vous mourrez du virus de la grippe aviaire vous êtes sur la bonne voie vers le paradis d’Allah, si vous mourrez du virus de la grippe porcine vous avez tout faux. Qu’attendent les oulémas pour lancer une fatwa contre cette maladie haram ?
Ces faits nous rappellent justement que l’Égypte est un pays chrétien victime de l’occupation musulmane depuis 646 et que le virus le plus dangereux n’est pas celui de la grippe mais bien celui de l’islamisation. Bref si les musulmans égyptiens ne sont pas contents qu’ils mettent fin à la colonisation de l’Égypte et qu’ils retournent en Arabie Saoudite ! Vive l’Égypte libre !

La semeuse Nicolas Sarkozy.

Le président de la République Nicolas Sarkozy vient d’annoncer son plan pour le « Grand Paris » dont le coût se monte à 35 milliards € soit plus que son plan de relance pour l’économie de 26 milliards €. Si nous ne nions pas que ce plan présente des intérêts au sujet de l’équipement des transports en commun pour l’Île-de-France, il arrive néanmoins dans une conjoncture d’endettement croissant et massif résultant des années de gabegie de nos gouvernements et des dernières mesures en faveur de la relance de l’économie. Nicolas Sarkozy pourrait sienne la devise de la célèbre semeuse : « Je sème à tous vents », sous-entendu l’argent des contribuables. Le Président bling-bling et bla-bla est aussi prodigue, mais cette prodigalité pourrait bien transformer le « Grand Paris » en « Grosse catastrophe budgétaire » et le Président de la République en Président de la dette publique.

Louis CHAGNON
Vice-président de l’Institut du pays libre.