"Les armées en déroute ont droit à certaines compensations récréatives" faisait dire l’excellent Michel Audiard au non moins excellent Jean Gabin dans le film Un Singe en Hiver. C’est cela qui vient à l’esprit lorsque l’on visionne les images circulant sur internet qui montrent des CRS casqués se saisir de cailloux sur un ballaste SNCF pour les jeter sur des manifestants en contrebas. Car l’Etat français, sa police et sa justice font bien figure d’armée en déroute.
Universités occupées depuis des mois, saccagées (on évoque 80.000 € de dégâts pour la seule université de Rennes) et transformées en dépotoirs sans réactions des pouvoirs publics, agressions à la barre de fer dans les collèges et lycées, bandes ethniques laissées libre de faire régner la terreur dans des zones de non droit qui s’étendent jour après jour, la liste est longue qui montre le recul de l’Etat en matière de sécurité des biens et des personnes.
Que l’on diffuse une vidéo où l’on voit une bande ethnique tabasser avec une violence inouïe un jeune homme aux cris de "sale Français de merde !", le ministère de l’Intérieur diligente immédiatement une enquête pour… retrouver le fonctionnaire de police qui a diffusé la vidéo ! Les médias à la botte s’offusquant de cette diffusion et des "risques d’amalgame". Rien pour la victime, pas un mot pour condamner l’agression raciste d’un Français blanc. Le seul gardé à vue de l’affaire sera sans doute le policier suspect.
L’on sait désormais que seul le racisme anti-français est toléré par la justice et l’établissement. Le racisme anti-français auquel il faut ajouter la haine anti-chrétienne. Ainsi, lors du débat au Sénat sur le travail du dimanche, alors que Bruno Retailleau (MPF) intervient pour dire son opposition à ce projet, le sénateur UMP Gérard Longuet lui lance "A la messe !" sans que personne ne s’offusque. Imagine-t-on seulement que M. Longuet ait lancé à un collègue israélite "A la synagogue !". La machine broyer médiatico-politique se serait immédiatement mise en marche. Le CRIF et la LICRA auraient été reçus par le Président de la République qui leur aurait présenté ses excuses, France 2 aurait diffusé un reportage documenté sur la jeunesse politique de M. Longuet à Occident, aux côtés des Frères Sidos, puis aux débuts du Front national … Mais là rien ! Avec les cathos, on peut tout se permettre sans grand risque.*
"Quo usque tandem abutere, Catilina, patientia nostra?" demandait Cicéron au sénateur Catilina.
Jusqu’à quand abuseront-ils de notre patience ? Jusqu’à quand nous laisserons-nous frapper par les voyous des banlieues et insulter par les voyous du système ? Au delà de l’activisme stérile et des réactions au coup par coup, il y a désormais une nécessité de s’unir et de s’organiser pour répliquer et défendre notre identité française et chrétienne. De cela il sera question lors de notre université d’été du mois d’août dont le programme sera publié dans les jours à venir.
Yann Baly
Universités occupées depuis des mois, saccagées (on évoque 80.000 € de dégâts pour la seule université de Rennes) et transformées en dépotoirs sans réactions des pouvoirs publics, agressions à la barre de fer dans les collèges et lycées, bandes ethniques laissées libre de faire régner la terreur dans des zones de non droit qui s’étendent jour après jour, la liste est longue qui montre le recul de l’Etat en matière de sécurité des biens et des personnes.
Que l’on diffuse une vidéo où l’on voit une bande ethnique tabasser avec une violence inouïe un jeune homme aux cris de "sale Français de merde !", le ministère de l’Intérieur diligente immédiatement une enquête pour… retrouver le fonctionnaire de police qui a diffusé la vidéo ! Les médias à la botte s’offusquant de cette diffusion et des "risques d’amalgame". Rien pour la victime, pas un mot pour condamner l’agression raciste d’un Français blanc. Le seul gardé à vue de l’affaire sera sans doute le policier suspect.
L’on sait désormais que seul le racisme anti-français est toléré par la justice et l’établissement. Le racisme anti-français auquel il faut ajouter la haine anti-chrétienne. Ainsi, lors du débat au Sénat sur le travail du dimanche, alors que Bruno Retailleau (MPF) intervient pour dire son opposition à ce projet, le sénateur UMP Gérard Longuet lui lance "A la messe !" sans que personne ne s’offusque. Imagine-t-on seulement que M. Longuet ait lancé à un collègue israélite "A la synagogue !". La machine broyer médiatico-politique se serait immédiatement mise en marche. Le CRIF et la LICRA auraient été reçus par le Président de la République qui leur aurait présenté ses excuses, France 2 aurait diffusé un reportage documenté sur la jeunesse politique de M. Longuet à Occident, aux côtés des Frères Sidos, puis aux débuts du Front national … Mais là rien ! Avec les cathos, on peut tout se permettre sans grand risque.*
"Quo usque tandem abutere, Catilina, patientia nostra?" demandait Cicéron au sénateur Catilina.
Jusqu’à quand abuseront-ils de notre patience ? Jusqu’à quand nous laisserons-nous frapper par les voyous des banlieues et insulter par les voyous du système ? Au delà de l’activisme stérile et des réactions au coup par coup, il y a désormais une nécessité de s’unir et de s’organiser pour répliquer et défendre notre identité française et chrétienne. De cela il sera question lors de notre université d’été du mois d’août dont le programme sera publié dans les jours à venir.
Yann Baly
* Loin de nous le désir de voir les débats parlementaires se dérouler comme le chapitre d’un monastère bénédictin. Les grands Léon Daudet et Xavier Vallat avaient eux aussi, en leur temps, la répartie vive et le verbe haut. Cela contribuait à donner un peu d’intérêt à la comédie parlementaire mais alors la liberté de parole dans les assemblées comme ailleurs profitait à tout le monde…