Bernard ANTONY, Président de l’AGRIF, communique :
En diffusant la vidéo montrant le lynchage dans un bus de la RATP d’un "sale français", dans la nuit du 6 au 7 décembre 2009, les personnes appartenant peut-être à la police ont, quoi qu’il en soit, agi pour de hautes raisons de conscience. Elles ne pouvaient accepter le fait illégitime de dissimulation d’un acte très criminel de racisme, parce qu’il s’agissait de ce racisme si fréquent que l’idéologie dite antiraciste, en fait celle de l’inversion raciste, impose de taire : le racisme anti-français.
On ne peut qu’observer en effet le scandaleux silence des autorités sur l’identité des barbares racistes qui se sont acharnés sur un jeune homme coupable d’être français et sur les suites de leur interpellation.
On ne peut une fois de plus que constater, au plus haut niveau de l’Etat, une insupportable discrimination de fait : anti-française.
L’AGRIF lance donc, ce jour, l’initiative du « Comité de Soutien et de vigilance : "CONSCIENCE ET JUSTICE". Elle appelle les personnalités et militants de tous les domaines, politique, social, culturel, religieux, médiatique, à y adhérer afin de soutenir les policiers injustement traqués pour leur légitime objection de conscience. Elle les invite à lui envoyer par courriel l’adhésion à ce comité, et à venir retirer à son siège, à partir du jeudi 16 avril, les feuilles de recueil de signatures sur le texte suivant :
"Profondément scandalisé par le lynchage d’un jeune français, parce que Français, par des barbares racistes ;
Indigné tout autant par l’occultation de ce fait par les autorités policières et judiciaires ;
Stupéfait par les poursuites engagées contre les objecteurs de conscience ayant légitimement dévoilé une évidente et intolérable pratique de discrimination anti-française ;
Constatant que le racisme anti-français est celui que l’on doit taire jusqu’à ne jamais en prononcer l’expression ;
Refusant cette perversion idéologique, adhère au Comité de Soutien et de Vigilance "Conscience et Justice ".
Prière d’indiquer le nom, le prénom, la profession, les titres éventuels, l’adresse ou le courriel.
L’AGRIF invite en priorité ses six mille adhérents à se mobiliser et à rester à l’écoute de ses directives et des suites qui seront données.
Elle est prête évidemment à coordonner l’action du Comité "Conscience et Justice" avec toute autre initiative civique manifestant la même exigence de refus du racisme ani-français et de défense de la conscience des fonctionnaires. Par ailleurs, les avocats étudient les possibilités d’une plainte contre le ministère de l’Intérieur pour dissimulation d’acte raciste criminel.
On ne peut qu’observer en effet le scandaleux silence des autorités sur l’identité des barbares racistes qui se sont acharnés sur un jeune homme coupable d’être français et sur les suites de leur interpellation.
On ne peut une fois de plus que constater, au plus haut niveau de l’Etat, une insupportable discrimination de fait : anti-française.
L’AGRIF lance donc, ce jour, l’initiative du « Comité de Soutien et de vigilance : "CONSCIENCE ET JUSTICE". Elle appelle les personnalités et militants de tous les domaines, politique, social, culturel, religieux, médiatique, à y adhérer afin de soutenir les policiers injustement traqués pour leur légitime objection de conscience. Elle les invite à lui envoyer par courriel l’adhésion à ce comité, et à venir retirer à son siège, à partir du jeudi 16 avril, les feuilles de recueil de signatures sur le texte suivant :
"Profondément scandalisé par le lynchage d’un jeune français, parce que Français, par des barbares racistes ;
Indigné tout autant par l’occultation de ce fait par les autorités policières et judiciaires ;
Stupéfait par les poursuites engagées contre les objecteurs de conscience ayant légitimement dévoilé une évidente et intolérable pratique de discrimination anti-française ;
Constatant que le racisme anti-français est celui que l’on doit taire jusqu’à ne jamais en prononcer l’expression ;
Refusant cette perversion idéologique, adhère au Comité de Soutien et de Vigilance "Conscience et Justice ".
Prière d’indiquer le nom, le prénom, la profession, les titres éventuels, l’adresse ou le courriel.
L’AGRIF invite en priorité ses six mille adhérents à se mobiliser et à rester à l’écoute de ses directives et des suites qui seront données.
Elle est prête évidemment à coordonner l’action du Comité "Conscience et Justice" avec toute autre initiative civique manifestant la même exigence de refus du racisme ani-français et de défense de la conscience des fonctionnaires. Par ailleurs, les avocats étudient les possibilités d’une plainte contre le ministère de l’Intérieur pour dissimulation d’acte raciste criminel.