De plus en plus, l’AGRIF est informée quotidiennement non seulement d’actes de racisme anti-français mais de spectacles, dessins, sculptures, photos, expositions blasphématoires et actes délictueux inspirés par la haine anti-chrétienne.
Elle ne peut lutter seule contre ce qui semble devenir un puissant courant d’abjection anti-chrétienne de différentes inspirations et connivences idéologico-religieuses.
Bien sûr, ces faits constituent souvent une invitation plus ou moins directe à la haine contre les chrétiens en tant que personnes et en tant que groupe. Mais hélas, les magistrats ne les
considèrent pas toujours ainsi. Ils invoquent, avec souvent une certaine subjectivité, le respect de la liberté d’expression, de dérision, de blasphème.
Pourtant le christianisme est la seule religion attaquée ainsi, dans la mode, les « arts », les spectacles et les médias.
L’AGRIF qui n’est pas financée comme les associations dites anti-racistes n’a pas de grands moyens et ne doit donc pas les gaspiller en procédures vouées à l’échec. Elle agit donc sur les faits les plus abominables, indubitablement incitateurs de haine, ce que la loi devrait réprimer. Elle entend agir avec vigueur mais aussi avec intelligence, ne pas gaspiller inutilement ses faibles moyens. Outre ses actions judiciaires, elle peut certes mener avec efficacité, on l’a vu, des campagnes de protestation.
Certains, qui ne font presque rien, lui demandent beaucoup. Ils pourraient pourtant en appeler aussi à l’épiscopat français qui, parfaitement informé, ne fait strictement rien devant de monstrueuses abominations telles que l’exposition de « L’infamille » à Metz. Ils pourraient en appeler aux associations familiales, catholiques et autres.
L’AGRIF va certes en 2009 continuer à se battre avec pugnacité sans attendre que d’autres sortent de leur torpeur, voire même de cette tiédeur des tièdes que le Christ vomit de sa bouche.