Déclaration de Gianfranco Fini, Président de la Chambre des députés italienne (source : Le Salon Beige).
Que Gianfranco Fini ait rompu avec le fascisme et le néo-fascisme d’où il est politiquement issu, au point d’assimiler, sans les nuances d’un Pierre Milza ou d’un Max Gallo, le régime de Mussolini avec le nazisme, c’est son affaire et celle de ses électeurs italiens.
Mais qu’il reprenne à son compte les propos de la désinformation bolchévique ou d’un certain extrémisme juif contre l’Eglise catholique et contre Pie XII, c’est la preuve qu’il a vraiment perdu sa liberté.
Sur quelle injonction aboie-t-il ainsi lui aussi ?
Je le savais certes d’idéologie anti-chrétienne et d’évidence il n’a pas rompu avec cette ligne-là. Mais je ne le savais pas malhonnête au point de pratiquer le révisionnisme le moins fondé et le négationnisme le plus mensonger.
Mais qu’il reprenne à son compte les propos de la désinformation bolchévique ou d’un certain extrémisme juif contre l’Eglise catholique et contre Pie XII, c’est la preuve qu’il a vraiment perdu sa liberté.
Sur quelle injonction aboie-t-il ainsi lui aussi ?
Je le savais certes d’idéologie anti-chrétienne et d’évidence il n’a pas rompu avec cette ligne-là. Mais je ne le savais pas malhonnête au point de pratiquer le révisionnisme le moins fondé et le négationnisme le plus mensonger.