Une fois de plus, un nouvel acte de barbarie abominable contre le respect dû aux morts qui est un des fondements sacrés de toutes les grandes civilisations vient d’être commis avec les profanations et les destructions du cimetière Saint-Hilaire de Marville.
Une fois encore il s’agit simultanément d’une manifestation de perversion nihiliste et de haine antireligieuse, en l’occurrence de haine antichrétienne.
Nous sommes là encore en présence de ce que produit toute une culture nihiliste, une culture de mal, de mort et de haine.
Mr le Procureur Alexandre de Bosschere a évoqué une action de vandalisme, de « profanation gothique ». Mais cela est bien insuffisant. On sait en effet que le terme de « gothique » est utilisé hélas aujourd’hui pour désigner un mode de mœurs et d’accoutrement, très souvent ouvertement sataniste et vaguement néo-nazi, ceci en raison peut-être du goût pour les belles lettres dites gothiques de la culture germanique.
Mais il est affligeant de désigner comme « gothiques » tout comme nos splendides cathédrales un univers de délabrement psychique grave.
Mais comment ne pas voir l’évidente convergence de morbidité et de perversion du néo-satanisme avec ce que l’on appelle « l’art contemporain » où l’on exalte toutes les formes de la culture de mort, de la haine antichrétienne et de la haine de la création.
Comment ne pas constater que les opérations de nécrofolie en Lorraine et ailleurs vont de pair avec l’abjection de la très officielle exposition « L’infamille » au FRAC de Lorraine (entrée gratuite) exaltant le viol, l’inceste, l’acharnement sexuel sur les cadavres d’enfants, dans le délire du pire imaginaire sadien.
Lorsque les morbides bobos fabriquent ou achètent une revue onéreuse avec un Mickey crucifié, avec l’affligeant contenu de la fascination pour la décréation, l’excrétion, la profanation et l’excrémentation d’un Ian Favre, comment s’étonner que des jeunes atteints de toutes les hallucinations chimiques et psychiques fassent somme toute de l’art contemporain dans les cimetières.
L’AGRIF naturellement va se porter partie civile dans l’affaire du cimetière de Marville. Mais elle va aussi poursuivre le Conseil Régional de Lorraine pour la haine sadique non seulement de la culture française, de la culture chrétienne mais tout simplement de la dignité humaine qu’exprime son exposition financée avec l’argent pris à tous les contribuables.
Une fois encore il s’agit simultanément d’une manifestation de perversion nihiliste et de haine antireligieuse, en l’occurrence de haine antichrétienne.
Nous sommes là encore en présence de ce que produit toute une culture nihiliste, une culture de mal, de mort et de haine.
Mr le Procureur Alexandre de Bosschere a évoqué une action de vandalisme, de « profanation gothique ». Mais cela est bien insuffisant. On sait en effet que le terme de « gothique » est utilisé hélas aujourd’hui pour désigner un mode de mœurs et d’accoutrement, très souvent ouvertement sataniste et vaguement néo-nazi, ceci en raison peut-être du goût pour les belles lettres dites gothiques de la culture germanique.
Mais il est affligeant de désigner comme « gothiques » tout comme nos splendides cathédrales un univers de délabrement psychique grave.
Mais comment ne pas voir l’évidente convergence de morbidité et de perversion du néo-satanisme avec ce que l’on appelle « l’art contemporain » où l’on exalte toutes les formes de la culture de mort, de la haine antichrétienne et de la haine de la création.
Comment ne pas constater que les opérations de nécrofolie en Lorraine et ailleurs vont de pair avec l’abjection de la très officielle exposition « L’infamille » au FRAC de Lorraine (entrée gratuite) exaltant le viol, l’inceste, l’acharnement sexuel sur les cadavres d’enfants, dans le délire du pire imaginaire sadien.
Lorsque les morbides bobos fabriquent ou achètent une revue onéreuse avec un Mickey crucifié, avec l’affligeant contenu de la fascination pour la décréation, l’excrétion, la profanation et l’excrémentation d’un Ian Favre, comment s’étonner que des jeunes atteints de toutes les hallucinations chimiques et psychiques fassent somme toute de l’art contemporain dans les cimetières.
L’AGRIF naturellement va se porter partie civile dans l’affaire du cimetière de Marville. Mais elle va aussi poursuivre le Conseil Régional de Lorraine pour la haine sadique non seulement de la culture française, de la culture chrétienne mais tout simplement de la dignité humaine qu’exprime son exposition financée avec l’argent pris à tous les contribuables.