Avant le journal de 20 heures sur France 2 du dimanche 6 avril 2008 – donc sur le service public à une heure de grande écoute – un sketch de « Samantha oups » montre cette dernière déguisée en curé style « Don Camillo ».
« Samantha oups » ne fait jamais dans la dentelle ni dans le bon goût, nous l’avons constaté. Les notions de délicatesse, de fraîcheur, de vraie fantaisie lui sont étrangères. De fait, elles n’appartiennent plus à ce monde audiovisuel qui prétend nous façonner à sa guise.
Cependant il y a un fossé entre la « simple » vulgarité et l’attaque en règle contre une religion, en l’occurrence contre la religion catholique.
Déguisé en Don Camillo – qui était pourtant éminemment sympathique – le comédien dit avoir un collier et des chips dans un sac. Or le « collier » est un chapelet et les « chips » sont des hosties. C’est un blasphème qui ne peut qu’émouvoir les catholiques.
En effet, c’est l’indifférence et l’ « aquabonisme » de tant de catholiques, et pas seulement parmi les laïcs, qui permet que ce genre de provocation puisse se produire sans problème ni réactions, un dimanche soir, sur une chaîne de grande écoute.
« Samantha oups » ne fait jamais dans la dentelle ni dans le bon goût, nous l’avons constaté. Les notions de délicatesse, de fraîcheur, de vraie fantaisie lui sont étrangères. De fait, elles n’appartiennent plus à ce monde audiovisuel qui prétend nous façonner à sa guise.
Cependant il y a un fossé entre la « simple » vulgarité et l’attaque en règle contre une religion, en l’occurrence contre la religion catholique.
Déguisé en Don Camillo – qui était pourtant éminemment sympathique – le comédien dit avoir un collier et des chips dans un sac. Or le « collier » est un chapelet et les « chips » sont des hosties. C’est un blasphème qui ne peut qu’émouvoir les catholiques.
En effet, c’est l’indifférence et l’ « aquabonisme » de tant de catholiques, et pas seulement parmi les laïcs, qui permet que ce genre de provocation puisse se produire sans problème ni réactions, un dimanche soir, sur une chaîne de grande écoute.