Une actualité médiatique chasse l’autre. C’est là une des constantes du comportement de Nicolas Sarkozy.
Dès que quelque chose n’a pas tourné comme il le souhaitait, il sait exhiber pour le badaud médiatique un nouveau lapin de sa gibecière de communication.
L’opération Kadhafi a été un échec total. Non seulement les Français ont compris que le méprisant bédouin était venu avec la ferme intention parfaitement réussie d’humilier notre pays mais dans le monde diplomatique international, la réputation de Sarkozy en a pris un sacré coup. Ce n’est, ni Poutine, ni Bush, ni Olmert, ni Angela Merkel, ni Chavez qui se seraient ainsi laisser manœuvrer.
En la matière, notre diplomatie s’est également avérée désastreuse, n’ayant rien anticipé de la manière très prévisible dont se conduirait le führer mal rasé puisque justement on le sait imprévisible, c’est à dire capable de toutes les provocations.
Alors Kouchner s’étant défossé, Sarkozy dut avaler jusqu’à la lie l’amertume causée par ce séjour en France du grand mamamouchi de Lybie.
Il lui fallait d’urgence rattraper ce coup fâcheux, gommer la mauvaise impression causée chez les Français en qui tout de même sommeille encore un peu de sens de la dignité nationale.
Alors, Sarkozy se dit que c’était le moment ou jamais de sortir Carla aux longues jambes et aux yeux de samoyède. Pour cela, il choisit de s’en aller amoureusement promener à Disneyland, histoire d’inscrire sa sortie dans l’univers du rêve et du conte.
Il semblerait que cela ait marché. Oubliée Cécilia et vive Carla, le rêve Bruni a chassé le cauchemar Kadhafi.
Dès que quelque chose n’a pas tourné comme il le souhaitait, il sait exhiber pour le badaud médiatique un nouveau lapin de sa gibecière de communication.
L’opération Kadhafi a été un échec total. Non seulement les Français ont compris que le méprisant bédouin était venu avec la ferme intention parfaitement réussie d’humilier notre pays mais dans le monde diplomatique international, la réputation de Sarkozy en a pris un sacré coup. Ce n’est, ni Poutine, ni Bush, ni Olmert, ni Angela Merkel, ni Chavez qui se seraient ainsi laisser manœuvrer.
En la matière, notre diplomatie s’est également avérée désastreuse, n’ayant rien anticipé de la manière très prévisible dont se conduirait le führer mal rasé puisque justement on le sait imprévisible, c’est à dire capable de toutes les provocations.
Alors Kouchner s’étant défossé, Sarkozy dut avaler jusqu’à la lie l’amertume causée par ce séjour en France du grand mamamouchi de Lybie.
Il lui fallait d’urgence rattraper ce coup fâcheux, gommer la mauvaise impression causée chez les Français en qui tout de même sommeille encore un peu de sens de la dignité nationale.
Alors, Sarkozy se dit que c’était le moment ou jamais de sortir Carla aux longues jambes et aux yeux de samoyède. Pour cela, il choisit de s’en aller amoureusement promener à Disneyland, histoire d’inscrire sa sortie dans l’univers du rêve et du conte.
Il semblerait que cela ait marché. Oubliée Cécilia et vive Carla, le rêve Bruni a chassé le cauchemar Kadhafi.