Avec une colossale finesse emblématique de ce qu’elle croit sans doute être de l’esprit, mademoiselle Houria Bouteldja, invitée sur FR3 le 2 juin 2007 a usé, avec un mépris appuyé, du terme de « souchiens » pour désigner ceux, dit-elle, « à qui il faut bien donner un nom : les blancs »
Ce propos est évidemment raciste.
Le terme de « souchiens » ne trompe personne. Il est renforcé par le procédé d’insistance dédaigneuse, « il faut bien leur donner un nom à ces blancs » !
Or le terme de « blancs » suffit absolument à désigner l’ensemble d’appartenance qu’elle vise, caractérisé par la couleur de peau blanche.
Le terme de « souchiens » a été créé à la seule et évidente fin de l’injure et du mépris. Il aurait été perçu comme tel par quelque ensemble ou sous-ensemble ethnique ou racial.
Qu’auraient dit les magrhébins de souche (sous-ensemble de la race blanche) si on les avait traités de « souchiens » ? ou encore les individus de race noire ou jaune ?
Qu’aurait-on dit si l’on avait désigné quelque Houria, d’appartenance à la souche arabo-berbère, de « souchienne » ?
La vérité incontestable c’est que mademoiselle Bouteldja s’est livré d’une manière totalement réfléchie à une de ces provocations dominatrices dont elle tire gloire alimentant toute une xénophobie ethnico-clanique.
Ceci n’est pas sans influence sur des esprits faibles, prompts à traduire le mépris en actes délictueux et quelquefois les pires.
Ajoutons à cela que Houria Bouteldja prône aussi, d’une manière non moins raciste et méprisante, « la rééducation des blancs » pour leur apprendre ce qu’étaient la colonisation et l’esclavage.
Constatons donc qu’elle semble totalement ignorer ce que furent la pratique de l’esclavage dans le monde musulman et les colonisations arabes ou turques. Volontiers nous lui rendrons le service de l’informer sur ce point. Ce sera notre contribution à son éducation historique.
J’ai donc chargé un avocat de mettre en marche la procédure qui s’impose, ayant, jusqu’à ce jour, attendu en vain que madame Rachida Dati, garde des sceaux, qui devrait faire régner une justice égale pour tous, fasse diligenter l’action qui s’impose par le Ministère Public.
Ce propos est évidemment raciste.
Le terme de « souchiens » ne trompe personne. Il est renforcé par le procédé d’insistance dédaigneuse, « il faut bien leur donner un nom à ces blancs » !
Or le terme de « blancs » suffit absolument à désigner l’ensemble d’appartenance qu’elle vise, caractérisé par la couleur de peau blanche.
Le terme de « souchiens » a été créé à la seule et évidente fin de l’injure et du mépris. Il aurait été perçu comme tel par quelque ensemble ou sous-ensemble ethnique ou racial.
Qu’auraient dit les magrhébins de souche (sous-ensemble de la race blanche) si on les avait traités de « souchiens » ? ou encore les individus de race noire ou jaune ?
Qu’aurait-on dit si l’on avait désigné quelque Houria, d’appartenance à la souche arabo-berbère, de « souchienne » ?
La vérité incontestable c’est que mademoiselle Bouteldja s’est livré d’une manière totalement réfléchie à une de ces provocations dominatrices dont elle tire gloire alimentant toute une xénophobie ethnico-clanique.
Ceci n’est pas sans influence sur des esprits faibles, prompts à traduire le mépris en actes délictueux et quelquefois les pires.
Ajoutons à cela que Houria Bouteldja prône aussi, d’une manière non moins raciste et méprisante, « la rééducation des blancs » pour leur apprendre ce qu’étaient la colonisation et l’esclavage.
Constatons donc qu’elle semble totalement ignorer ce que furent la pratique de l’esclavage dans le monde musulman et les colonisations arabes ou turques. Volontiers nous lui rendrons le service de l’informer sur ce point. Ce sera notre contribution à son éducation historique.
J’ai donc chargé un avocat de mettre en marche la procédure qui s’impose, ayant, jusqu’à ce jour, attendu en vain que madame Rachida Dati, garde des sceaux, qui devrait faire régner une justice égale pour tous, fasse diligenter l’action qui s’impose par le Ministère Public.