vendredi 22 décembre 2006

A LA RADIO

Ce matin 22 décembre, Philippe de Villers, ayant une extinction de voix, a confié qu’il se faisait soigner par un vétérinaire ajoutant qu’il avait en effet une résistance de bête à toutes les agressions.

Sa ressemblance totémique avec le cheval est il est vrai frappante, bien que sans méchanceté, on puisse trouver qu’il parle cependant plutôt avec des inflexions de bêlement. Aussi, son choix d’un thérapeute animalier n’est-il peut-être pas si…bête.

D’abord, selon Aristote, l’homme est un animal, un animal politique bien sûr ! Et après tout, pour sauver le pays, ne faudrait-il pas lui infliger un « remède de cheval » ? La question est juste de savoir quel vétérinaire politique sera capable de diagnostiquer les maladies du mammouth français en remontant des effets aux causes, d’en proposer les thérapeutiques et d’avoir enfin le courage et la force de les appliquer ?