L’Agrif va se porter partie civile dans l’affaire de l’incendie de la chapelle de la cité de la Rouguière à Marseille et de celle de six véhicules à proximité.
Rappelons que cet acte terroriste anti-chrétien a été commis quasiment au vu et au sus de beaucoup de témoins, par une dizaines «de jeunes» encagoulés.
Au préalable, «ces jeunes» manifestement musulmans fanatiques, avaient « taggé» sur les murs «Réouverture de la mosquée ou la violence toute l’année». Ceci faisait d’évidence allusion à la fermeture d’un local commercial proche, occupé illégalement et transformé en lieu de prières.
Rappelons ici qu’il y a très légalement à Marseille des dizaines de mosquées et des centaines de lieux de prières.
On ne voit de toute façon pas pourquoi le regret de ne pouvoir en occuper une de plus devrait motiver un incendie de chapelle catholique.
Cela il est vrai est encouragé par la position dite «laïque», de l’établissement politique. Selon celle-ci, l’islam qui a pourtant séculairement menacé l’Europe, devrait être mis sur un pied d’égalité avec le christianisme qui lui a fondamentalement donné les valeurs, même laïcisées, de dignité humaine et de vraie liberté.
L’acte de Marseille et sa motivation explicite marquent que le problème le plus important causé par l’immigration est celui du facteur islamique. Cela va apparaître toujours plus.
Sa résolution ne pourrait être facilité que par une évolution de l’islam semblable à celle du judaïsme et du christianisme relativisant le coran et celui de l’exemplarité de Mahomet par le contexte historique.
Or ce n’est pas seulement dans les mosquées dites salafistes mais dans toutes, que l’on enseigne que tous les «incroyants» iront en enfer, que l’islam a vocation de conquérir le monde, d’y imposer sa Charia et de n’y tolérer comme soumis à la «dhimmitude» que les juifs et les chrétiens.
Voilà ce qui va de plus en plus peser sur la société française. Il est vain de prétendre combattre le communautarisme et de ne pas voir qu’un des concepts les plus fondamentaux de l’islam est celui de «l’umma», la communauté islamique qui doit transcender et même balayer toute autre appartenance.
Les faits, même religieux sont têtus, le républicanisme jacobin aussi, hélas. Il n’a cessé de coûter très cher à la nation française.