mardi 10 octobre 2006

Déni démocratique

Je prends connaissance d’une feuille du secrétaire général du F.N., M. Louis Alliot, exprimant une grande inquiétude sur le recueil des 500 signatures d’élus nécessaires pour la candidature de Jean-Marie Le Pen à la présidence de la République.

Quoiqu’il en soit de ce que j’ai pu légitimement reprocher à ce dernier, l’éventualité qu’il ne puisse pas se présenter est intolérable, véritable déni de considération pour les millions d’électeurs français qui trouvent toujours en lui le défenseur de beaucoup de leurs idées, l’interprète de leur désespoir et de leurs aspirations.

Je trouve indigne, misérable, l’attitude des candidats rivaux qui, selon mes informations, miseraient sur son absence du scrutin.

J’appelle tous les militants et sympathisants de Chrétienté Solidarité et du Conseil National de la Résistance du Pays Libre, tous mes amis à exercer la pression démocratique qui s’impose sur leurs élus pour que ceux-ci respectent par leur signature la libre expression démocratique dont ils se réclament tous.