Ils haïssent la France et Macron est leur chef de bande
Sidération... On se demande à chaque fois jusqu'où ils iront dans l'ignominie antichrétienne et antifrançaise. Comme leur haine est inépuisable, rabique, inextinguible, ils vont et iront encore et toujours plus loin.
Pour la cérémonie d'ouverture des JO – et Bernard Antony a eu l'occasion de l'écrire – ils se sont surpassés. Marie-Antoinette, reine, épouse et mère martyre, re-décapitée sous les chants fanatiques des terroristes de 1793 (au point que même le robespierriste Mélenchon a trouvé que c'était too much...). La Cène blasphémée, bien sûr. Des palanquées de tableaux outrageants qui feraient passer les pires Gay Pride pour d'aimables bluettes. Des êtres improbables s'exhibant explicitement. Les musiciens de la Garde républicaine se trémoussant (!) comme des drag queens sur le Djadja (ce qui veut dire « prendre en levrette », rappelons-le) d'Aya Nakamura. Ladite Nakamura à qui, pour l'occasion, on avait ouvert une porte depuis toujours réservée aux seuls chefs d’État et aux papes. Etc.
On y ajoutera, car cela n'a pas été signalé tant la dégueulasserie sur la Cène a tout emporté, la délégation algérienne jetant des fleurs dans la Seine en mémoire d'un supposé massacre de fellouzes en 1961. Le tout payé – comme les réceptions somptuaires dont Macron use et abuse – par nos impôts. Se faire insulter en permanence, c'est déjà insupportable. Payer de surcroît pour l'être passe les limites.
Ils nous haïssent et nous le font savoir avec une totale arrogance. Ils peuvent le faire en toute impunité parce que leur chef de bande, Macron, négateur de l'existence même d'une « culture française », les incitent à le faire. Payant souvent de sa personne quand, lors d'une fête de la musique, il avait accueilli à l’Élysée – en se frottant à eux – une troupe ni chair ni poisson, ni homme ni femme, un groupe prémonitoire des participants à la Cène souillée mise en scène sur la Seine (elle-même dégueulasse malgré le milliard et demi d'euros payés pour la rendre nageable)...
Face au scandale international, les responsables des JO sont venus s'excuser du bout des lèvres. Sans convaincre personne. Le concepteur de cette abomination a expliqué qu'on n'avait pas compris sa démarche humaniste et qu'en tout état de cause il s'agissait d'évoquer un festin dionysien et dionysiaque. Salopards et lopettes tout à la fois... La ministre des Sports, qui a ses enfants dans des lycées privés catholiques, et Gérald Darmanin (les policiers apprécieront...), ont trouvé toute cette dégoûtation profondément réussie et admirable de bout en bout...
Le reste du monde – je pense aux États-Unis, à l'Amérique latine, à l'Afrique chrétienne, à l'Asie fidèle – ne s'y sont pas trompés. Ils ont interdit de diffusion ces abominations, recommandant de les renvoyer dans les poubelles dont elles n’auraient jamais dû sortir. De nombreux sponsors des JO (comme C Spire, le plus grand opérateur mondial de télécommunication) ont retiré toutes les publicités commandées. Certains évêques ont bronché. Certains faisant un peu de bruit avec la bouche. D'autres réagissant plus fermement, comme Mgr Andrew Cozzens, président du Comité des évêques américains pour l'évangélisation et la catéchèse. Le pape est aux abonnés absents (ou au téléphone avec Maduro, va savoir...).
La pluie du Ciel s’est abattue sur cette démonstration sataniste. Un premier avertissement. La suite sera moins clémente.
Alain Sanders