mercredi 19 juin 2024

France : en finir avec les abominations de Macron et de Mélenchon

Faire échec électoralement le 30 juin au péril rouge et vert islamo-gauchiste !

 

·           À propos du « Nouveau Front Populaire », ce dernier mardi (18 juin) sur Figaro-Vox, la lecture de l’excellente chronique de Gilles-William Goldnadel. Notre bémol tout de même sur son envolée finale…

Comment ne pas partager l’indignation du brillant avocat (président de France-Israël), bien sûr contre les islamo-gauchistes de ce qu’il appelle judicieusement non pas le « Nouveau Front Populaire » mais le « front patibulaire », mais aussi contre les socialistes du déshonneur, le consternant Glucksmann de « Place publique » en premier et Olivier Faure ensuite, et encore les dindons que sont François Hollande et aussi Lionel Jospin, ancien trotskyste, de retour, ayant oublié le traitement infligé par la gauchisterie universitaire à sa philosophe et académicienne d’épouse, Sylviane Agacinski, pour l’empêcher de parler à l’université de Bordeaux.

Et voilà désormais ainsi un Raphaël Glucksmann, il y a encore peu pro-israélien acharné, faisant cause commune avec le trotskyste ultra-islamo-gauchiste et partisan du Hamas terroriste Philippe Poutou.

Quant au camarade Mélenchon, avec sa gueule de sans-culotte jacobin, en effet de plus en plus patibulaire, n’a-t-il pas envoyé le représenter en Amérique latine pour des manifestations chavistes et castristes quelques-uns de ses plus fieffés adulateurs de l’organisation LFI ?

La chute finale de la chronique Vox de Gilles-William Goldnadel nous a moins enthousiasmé. À destination des socialistes, il a comme lancé l’appel que voici : « Léon Blum réveille-toi, ils sont devenus fous ! » Cela nous invite à lui rappeler qu’hélas, quoiqu’ayant de brillantes facultés d’intellectuel et d’écrivain, Léon Blum, le chef socialiste français du Front Populaire de 1936, fut sur bien des plans un catastrophique dirigeant politique. Certes, il n’était ni un fanatique, ni un sectaire. On peut en donner comme preuve parmi d’autres son hommage à Barrès, le maître du nationalisme à la française, lors de la mort de Jean Jaurès. Il écrivit ainsi notamment dans le quotidien socialiste Le Populaire (25 septembre 1928), dans son article « Le vrai monument de Maurice Barrès » :

« Je ne parlerai jamais de Barrès sans émotion. Je l’ai connu à vingt ans, quand il en avait trente. J’étais un adolescent assuré et timide. Il était un jeune homme glorieux et déjà magistral, le prince nonchalant et dédaigneux de ma génération comme de la sienne. Je l’admirais sans doute alors plus qu’aujourd’hui mais je reste aussi touché qu’en ce temps-là de sa grâce si fière, de son charme câlin et un peu rude, de ce ton d’égalité autoritaire qu’il savait introduire dans l’amitié. L’affaire Dreyfus nous sépara brutalement, mais l’affection avait été assez vive – de part et d’autre, je crois – pour que nous en ayons gardé  plus que le souvenir. Nous en sentions en nous la racine encore intacte, et quand le hasard nous réunissait dans un couloir de la Chambre, ce n’était pas sans une sorte d’attendrissement. « Comment oublier, me disait-il un jour, que vous avez aimé ma jeunesse et qu’elle vous le rendait bien ? » Je ne l’avais pas oublié plus que lui, et je me souvenais ainsi que c’est moi  qui l’avais reçu devant le lit funèbre de Jaurès et qu’il m’avait dit : « Votre deuil est aussi le mien ». Cela avec des larmes dans les yeux, de vraies larmes qui effaceraient bien des choses. J’évoque ces souvenirs, par un mouvement d’expansion naturelle dont la cérémonie de Sion-Vaudemont me fournit l’occasion, et aussi pour bien montrer que devant le nom de Barrès je ne suis ni critique hostile ni même spectateur impartial : sa mémoire m’est restée chère comme sa personne. » (Hommages et souvenirs, Chapitre V, p.616)

Hélas, à plusieurs égards la politique pacifiste de Léon Blum a été catastrophique pour notre pays. Ne fut-il pas de ceux qui, en juin 1934, parmi nos grands dirigeants, firent tout, après l’assassinat par les nazis du chancelier autrichien Dollfuss que Mussolini entendait protéger, pour éviter la guerre entre ce dernier et Hitler ? Or, le Duce mobilisant alors quatre divisions dans la zone comprise entre le col du Brenner et la Carinthie, donna ainsi un coup d’arrêt à l’expansionnisme nazi, ce qui eut un grand retentissement en Europe. Il n’attendait que la promesse des soutiens de la France et du Royaume-Uni pour fondre sur l’Allemagne. Cette dernière n’avait pas alors la puissance pour résister à pareille coalition.

Gilles-William Goldnadel pourrait sur ce point lire avec profit les pages de Pierre Milza dans son « Mussolini » (Ed. Fayard). S’il lisait, dans le troisième volume de « L’œuvre de Léon Blum » (Ed. Albin Michel), sous le titre « 1928-1934 », il découvrirait par exemple cette phrase : « La contagion directe du racisme hitlérien ne m’a jamais paru bien redoutable : l’horreur qu’inspire un tel régime prévient contre toute velléité d’imitation ». (p.491). L’histoire prouve combien pareil jugement a pu être faux. Et cet incurable idéaliste pacifiste, à rebours de l’adage « si tu veux la paix, prépare la guerre », poursuivait plus loin : « Compter sur sa force pour détourner un danger qu’on pressent, s’imaginer qu’on détourne le danger en accroissant sa force, c’est un réflexe naturel  que la propagande nationaliste trouve aisément moyen d’exciter. Il est absurde, mais il est naturel ». Et encore : « Nous persisterons à démontrer à ce pays, en dépit de M. de Kerillis et de tous ses « instruments de propagande », que la course aux armements ne prévient pas la guerre mais  la rend inéluctable, que plus l’emprise du racisme hitlérien devient alarmante, plus le non-réarmement de l’Allemagne devient la condition primordiale de la sécurité de la France, que le non-réarmement de l’Allemagne est pratiquement impossible en dehors d’un effort général de réduction des armements et de contrôle ».

C’est ainsi, cher Gilles-William Goldnadel, que votre cher Léon Blum, admirable sous l’angle littéraire, par sa campagne incessante pour le désarmement de la France et obtenant qu’elle soit moins réarmée, a été de ceux qui ont rendu la guerre inéluctable.

 

·           Bravo Giorgia Meloni !

Forte (et heureuse) tension à Bari, ce samedi 15 juin, entre notamment la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et Emmanuel Macron, sur la déclaration finale de ce dernier G7. Il était prévu que cette dernière reprendrait les termes de la précédente, en 2023 à Hiroshima, où était mentionné comme un droit « l’accès à un avortement sûr et légal et à des prestations de soin post-avortement ».

C’était compter sans la ferme opposition, sans l’intraitable refus de madame Meloni, cette année présidente du G7.

Avec encore d’autres chefs d’État non opposés à la culture de mort, Biden et Macron tenaient à ce rappel. Mais la très courageuse Giorgia Meloni avait souverainement fixé une ligne rouge infranchissable. À quoi Macronéron, rageur, ne put répliquer que par le biais d’une réponse quelque peu boiteuse à la question d’une journaliste italienne : « La France a intégré ce droit des femmes à l’avortement, la liberté de disposer de son corps dans sa constitution. Ce ne sont pas les mêmes subtilités qu’il y a dans votre pays aujourd’hui. Je le regrette ». Giorgia Meloni riposta en accusant ce dernier d’utiliser le G7 pour « faire campagne ».

Car, pour sa part, elle pouvait savourer la satisfaction que sa liste ait obtenu en Italie le plus grand nombre d’élus lors du scrutin européen du 9 juin. Une preuve aussi que même lorsque l’on défend le respect de la vie, on peut accéder au pouvoir.

Et ce G7, parfaitement organisé, a encore constitué pour elle, selon tous les observateurs, une très belle réussite.

 

·           Mbappé veut faire la loi ?

Voici donc que, comme jamais peut-être dans le passé, des foutebaleurs et autres artistes s’avisent de faire des déclarations à des fins d’influence électorale.

Pour notre part, nous pensons que les « princes » des stades devraient avoir la décence de ne pas profiter de leurs richesses de nabab pour asséner au bon peuple, avec la complicité médiatique, des leçons de moraline antiraciste.

 

·           Dissolution macronienne de la France ?

Courroucé de ce que sa liste aux élections européennes n’ait récolté que la raclée méritée par son action exécrable de déconstruction de la France, Macronéron a décrété la dissolution de la Chambre des députés entraînant des élections législatives pour le 30 juin.

Mais, la vérité c’est que c’est toujours à la dissolution de la France que ce triste politicien continue de s’employer.

 

·           Kim Jong-Un, poutinophile majeur

Le dictateur russe Poutine séjourne donc depuis hier chez le dictateur nord-coréen Kim Jong-Un. Ce dernier l’accueille en « meilleur ami » de son pays, ce que proclament des milliers de banderoles élevées le long du parcours prévu de l’aéroport à Pyongyang.

La Corée du Nord est, avec l’Iran, un des trois principaux pays sur lesquels Poutine peut compter, non seulement pour son approvisionnement en obus et drones pour sa guerre en Ukraine, mais aussi en dizaines de milliers de « travailleurs » remplaçant les malheureux soldats russes envoyés à la mort dans ce conflit abominable. En réalité, la Corée du Nord (pays frontalier de la Russie comme de la Chine) est aussi le pays par lequel cette dernière peut aisément faire transiter tout l’armement qu’elle veut dans l’empire poutinien.

Il faut rappeler aussi que le pays de Kim Jong-Un est celui de l’État totalitaire le plus férocement antireligieux et antichrétien de la planète. Cela ne semble pas gêner tous les indécents catholiques poutinolâtres en France ; pas plus que ne les gêne l’alliance russe avec la Chine persécutrice des chrétiens (et aussi des musulmans) et avec l’Iran islamiste férocement anti-féministe. Mais, il est vrai que l’idéologie impérialo-eurasiste et néo-stalinienne de Poutine permet bien des accommodements. Ce qui n’est pas non plus pour déplaire à certains anciens officiers français qui ne furent nullement gênés de préférer, en Afrique et notamment au Mali, le camp de « Wagner » (devenu « Africa Korps !) à celui de l’armée française…

 

·           À La Croix, on fait signer les morts ! Jean Raspail ressuscité ?

Aucune nouvelle, par les temps qui courent, n’aurait pu faire plus de plaisir à Alain Sanders et à moi aussi que cette découverte de la signature d’une pétition par notre ami le grand écrivain Jean Raspail, ainsi ressuscité.

Hélas, le 13 juin 2020, ce dernier a bien quitté notre monde et nous étions, le 18 juin, à ses obsèques en l’église Saint-Roch à Paris. Et la preuve qu’il n’a pas été ramené à la vie, c’est qu’il n’aurait jamais signé la pétition organisée par le journal La Croix, misérablement titrée : « Au nom de notre foi, nous voterons contre l’extrême-droite ».

Outre celle de Raspail, on nous signale encore parmi les 6 000 signatures revendiquées, certaines à l’évidence fantaisistes et d’autres de personnages pas très connus pour leur foi catholique. Ainsi de l’islamiste Jawad Bendaoud, célèbre pour avoir hébergé des terroristes du Bataclan. Ainsi de Jean-Michel Trogneux, connu pour être le frère de… Brigitte Macron.

Mais voilà que, plus sérieusement, si l’on peut dire, notre vieille connaissance (poursuivie par l’Agrif), l’Algérienne Houria Bouteldja, la fondatrice du PIR (Parti des Indigènes de la République), a déclaré : « Moment de grâce avec une partie de la famille chrétienne qui ne se reconnait pas dans les courants catho réac mais qui au contraire cherche à faire vivre et revivre un message chrétien humain et égalitaire ».

Rappelons qu’Houria Bouteldja qui vit et est payée en France, mais qui hait la France, s’enorgueillit de son ascendance barbaresque, c’est-à-dire de ses ancêtres algérois esclavagistes.

Mais, elle n’est certes pas d’extrême-droite ! Il est vrai qu’elle ne professe qu’un racisme : le racisme antiblanc !