jeudi 4 avril 2024

S’il y avait des JO de la décadence, la France serait plusieurs fois « médaille d’or » !



Qui ne se souvient de la photo prise à l’Élysée le 21 juin 2018, un soir de fête de la musique ?

Nous en avions fait la couverture de Reconquête (n° 384 – janvier 2022) tellement elle illustrait selon nous la ligne « culturelle » et « esthétique » du couple Macron.

Emmanuel, rayonnant de gaieté, est assis en majesté sur un fauteuil, entouré « d’artistes racisés », selon l’adjectif cher à Houria Bouteldja.

À sa gauche, un personnage faisant avec deux doigts un signe de je ne sais quelle connivence, tient par l’épaule une Brigitte ravie. Sur une autre photo du même groupe, un des artistes exhibe un tee-shirt portant la mention explicite « noir et pédé ».

On ne s’étonne donc pas de ce que, pour l’ouverture des prochains JO à Paris, le divin Macronéron ait choisi pour chanter un « hymne à l’amour » dans une soi-disant continuité de l’indépassable Edith Piaf, si frêle et si pâle, la très plantureuse Aya Nakamura (de son vrai nom Aya Daniko).

Cette dernière, née au Mali, et ayant très récemment acquis la nationalité française (avril 2021) a au moins le mérite d’avoir refusé d’avorter comme l’y incitaient des proches. Déjà maman d’une petite fille prénommée Aïcha (comme l’épouse préférée de Mahomet), elle a alors donné le jour à une deuxième fille, Ava, dont le père (ils sont maintenant séparés) est un producteur musical, Vladimir Boudnikoff. Un nom qui ne devait pas déplaire aux amis maliens d’Aya, et admirateurs de Wagner.

Mais cette dernière, qui n’est plus désormais vêtue d’une abaya islamique mais souvent très dévêtue, est devenue célèbre (et immensément riche) en France et en Occident pour ses chansons que l’on peut apprécier sur Internet en une multitude de vidéos.

Avec leur contenu débilissime, elles sont d’une vulgarité et d’une répétitivité très lassante. Mais tous les goûts (et dégoûts) étant dans la nature, Aya est sans doute admirée aussi pour ses contorsions suggestives, ses trémoussements et ondulations lascives de sa croupe et tressautements de sa très débordante poitrine.

À l’évidence, Macronéron apprécie-t-il tout cela puisque le jour des Jeux il entend offrir le spectacle de Aya au monde entier…

Surtout, que l’on ne nous objecte pas l’ineptie que nous aurions de l’aversion envers cette « artiste » en raison de sa race. Tous nos amis et les foules du Front National des années 2000 se souviennent des grands « métinges » de Jean-Marie Le Pen où, sur mon initiative, pendant plusieurs années, chantait magnifiquement, en « lever de rideau », acclamée par les foules, notre chère Isabella, ardente, très fine et très belle, patriote française, née à la Réunion, plus indiennement ou africainement typée qu’européenne.

Mais les professionnels de la désinformation se gardaient bien de restituer cela…

Et ajoutons aujourd’hui que, contrairement à la très charnue et redoutable Aya Nakamura, Isabella n’a jamais été condamnée pour violences conjugales ni pour quelque violence que ce soit.

Et n’en déplaise encore à Houria Bouteldja et autres forcenées du racisme antiblanc sous couvert d’antiracisme, nous exprimons notre grande admiration pour l’immense champion français de judo (deux médailles d’or aux JO de 2020), Teddy-Pierre-Marie Riner, fils de Moïse Riner et de Marie-Pierre Riner, une admirable famille française de la Guadeloupe.