Bernard Antony, président de l’AGRIF, fondateur de Chrétienté-Solidarité, directeur de la revue Reconquête, communique :
Qu’il existe encore chez nous, en 2024, après les plus de cent millions d’assassinés et les milliards de victimes du système communiste lénino-stalinien, un parti communiste est une monstruosité dont hélas la France a le monopole en Europe.
Et on mesure l’impudence de Fabien Roussel, secrétaire national de ce PCF, lorsqu’il ose proférer : « Nous avons toujours défendu les travailleurs de la faucille » (sic !).
Ceux qui connaissent un tant soit peu l’histoire du PCF ne peuvent que s’indigner devant l’ignominie mémorielle d’un tel propos. Dès ses origines, le PCF a été l’héritier de Karl Marx qui, dans le Manifeste du Parti communiste, exhalait tout son mépris d’idéologue contre les paysans, « cette couche inerte des classes les plus basses de l’ancienne société ».
Ils savent que dès la révolution d’Octobre, la Tchéka de Lénine et de Dzerjinski massacrait partout en URSS des pans entiers de de la paysannerie.
Et puis ce fut, notamment en Ukraine (1932-1933), le génocide par la faim de « L’Holodomor » commandé par Staline, le frère jumeau hétérozygote d’Hitler.
Et ce fut aussi, à partir du pacte germano-soviétique, l’active collaboration de 1939 à 1941 du PCF avec le nazisme.
Le PCF collaborait en effet très lénino-staliniennement dans l’utilisation de la faucille et du marteau avec le PCF de l’URSS qui massacrait les paysans qualifiés de « Koulaks » pour le simple fait d’avoir pu conserver une vache ou quelques animaux de basse-cour dans leurs pauvres fermes.
Le négationnisme de Fabien Roussel constitue une injure à la mémoire des paysans massivement exterminés de par le monde par les dictateurs totalitaires des partis communistes au pouvoir.