lundi 27 novembre 2023

Cette Borne-là est d’une indécence sans retenue : sa démission s’impose, et celle de quelques autres aussi !

On croit rêver ! Une fois de plus (la précédente c’était à l’occasion de l’atroce assassinat de Lola), Élisabeth Borne, sans la moindre vergogne, a osé appeler à de la « décence et de la retenue » ceux qui exprimaient leur indignation plus que légitime après l’assassinat à Crépol (Drôme) du jeune joueur de rugby, Thomas, et aussi, il faut le rappeler, les poignardages de dix-sept autres jeunes gens du village dont deux grièvement blessés.

L’indignation montait surtout, d’heure en heure, jour après jour, devant le silence prolongé des autorités préfectorales, judiciaires et ministérielles et aussi devant certaines abominables dissimulations politico-médiatiques de ce qui allait se dévoiler comme la réalité d’une sanglante nuit d’horreur, perpétrée par un véritable commando de racistes maghrébins, mobilisés ainsi que certains le hurlaient : « On est là pour planter des Blancs ». C’était là le début de ce que d’indécents commentaires ont persisté par trop durablement à désigner, les uns comme « une bagarre », les autres comme « une rixe » qui aurait mal tourné.

Si ce n’était que Salera Bernarbia et Thomas Zimmerman, deux journalistes honnêtes du quotidien régional « Le Dauphiné Libéré », ont, « un jour après le drame », recueilli les témoignages des amis de Thomas et des autres victimes. L’article fut ainsi titré : « Leur récit de cette nuit d’horreur : « On a vécu ça comme un attentat ! » Dès lors, la scandaleuse hypothèse à évidente visée de désinformation de la bagarre qui aurait mal tourné ne fut plus tenable. Et d’autant moins que la police, faisant son travail, mit la main près de Toulouse sur les criminels qui, eux, s’étaient empressés de vouloir retourner « chez eux », via l’Espagne. Et, désormais nul ne pouvait alors s’aviser de nier que « chez eux », c’était au Maghreb, même s’ils étaient, selon l’expression coutumière, des « Français de papiers », des Français de nationalité purement administrative, comme depuis des années et des années il y en a, hélas, de plus en plus.

« Pas de récupération », « pas d’amalgame » professe la sentencieuse moralisatrice Élisabeth Borne. Bien sûr elle-même, et tous ses pareils idéologiquement, auraient préféré que la vérité n’éclate pas.

Mais, le monde du rugby, qui n’est pas rien dans ce qui demeure en France de pays libre, ne l’entendait pas de leur oreille si fermée aux drames de France livrée à la racaille. Alors, dans les stades les foules ont non seulement observé la minute de recueillement à la mémoire de Thomas mais ont virilement scandé : « Vérité, justice pour Thomas ». Et surtout, dans ce monde de notre pays véritable, de notre pays réel, dans cette France qui est, Dieu merci, de moins en moins soumise aux collabos du racisme antiblanc de la pseudo France insoumise, gronde l’orage du temps de la colère.

Naturellement, l’AGRIF, dont je ne me repens pas de l’avoir fait éclore il y a bientôt 40 ans, est plus que jamais sur son créneau, celui à partir duquel elle combat notamment, sans relâche en l’occurrence depuis 2007, la principale agitatrice de ce racisme antiblanc, l’islamo-gauchiste Houria Bouteldja(1), Française de papier et Algéro-barbaresque, prosélyte de Nique la France.

 

(1) Qui, non seulement ne se sent pas française, mais ne peut pas sentir les Français en particulier et ceux qu’elle appelle « les Blancs » en général.