Une nouvelle fois en Ukraine, un journaliste a trouvé la mort en accomplissant tout simplement pour nous, sur le terrain, son travail d’information. Car il y a toujours, c’est un fait, d’admirables authentiques correspondants de guerre pour nous informer et non nous désinformer comme essayent de le faire certains propagandistes sur certains réseaux, dits « sociaux » ou plus calamiteusement encore de tristes simples relayeurs des « informations » diffusées par les ambassades de Russie, de Chine rouge ou d’Iran et aussi bien sûr par celle des États-Unis par trop sous influence « woke » et LGBTQ.
Arman Soldin, lui, a fait son travail. Il est tombé au champ d’honneur des journalistes.
Prions pour lui : qu’il séjourne éternellement en ce paradis sous la garde des anges dans lequel Satan, ce Satan de tous les crimes en ce bas monde, ne pourra jamais surgir de son enfer.