vendredi 26 mai 2023

Le bobard d’Adèle Van Reeth : “France Inter n’est ni de droite ni de gauche ».


C’est le titre de la page 14 du Monde de ce dernier jeudi (25 mai). Adèle Van Reeth est la patronne de France-Inter. Questionnée sur six colonnes par deux journalistes de ce quotidien, elle répond que les critiques portant sur l’escamotage de la diversité des points de vue, « disparaissent dès qu’on prend la peine d’écouter la grille dans son ensemble ».

J’écoute pour ma part en buvant mon café les informations du matin des « journaux » de Léa Salamé et de Nicolas Demorand. Cela suffit généralement à me fournir la dose d’indignation suffisante pour parachever mon réveil et stimuler ma fonction de réplique.

D’abord, les deux personnages sont annoncés par une introduction de quelques minutes de pitoyables bouffonneries dans lesquelles la vulgarité la plus crasse le dispute à la dérision sans humour la plus affligeante.

Mais cela, en quelque sorte rituellement, déclenche toujours les gloussements éperdus d’admiration des gallinacées de studios sans doute préposées principalement à cette fonction de rire bête.

Après quoi, Léa la diva, presque toujours avec toute sa suffisance dominatrice, et Nicolas le flambeur ne manquent jamais d’imprimer toute leur gauchisterie aux débats et aux traitements des informations.

Certes, France-Inter, dans l’ordre de l’information politique, doit statutairement donner la parole aux différents représentants des partis représentés à l’Assemblée Nationale.

Mais qui osera nous affirmer qu’on y incite à s’exprimer, plus que très rarement, les opposants à la culture de mort, ou les partisans d’une véritable droite de conviction ?

Il serait évidemment intéressant de pouvoir faire le compte des émissions respectivement consacrées à la mémoire des horreurs du nazisme et à celle des horreurs du communisme.

Dieu merci, on ne pourrait trouver dans France-Inter aucun relent de propagande nazie. Mais peut-on en dire autant des influences communistes ?

Hitler atteignit certes des Everest d’atrocités.

Mais Staline, Mao, Pol Pot, Ceausescu (et les autres) n’ont-ils pas atteint eux aussi des Everest d’abominations ?...

·         Écolos-gauchos-veganos-dingos, ras-le-bol de votre néo-totalitarisme !

Une fois de plus, une magistrature s’occupe de ce qui ne la regarde pas !

Voilà donc que la Cour des comptes, qui n’est qu’une juridiction financière, (très importante certes), émet des considérations d’ordre politico-écologique.

Comme les parlements de l’Ancien Régime dont les prétentions à gouverner entraînèrent la révolution qui allait les dévorer, eux aussi, voilà que cette Cour se mêle, hors de sa compétence, de préconiser une baisse du cheptel bovin. Qui ne voit pourtant le désastre écologique et humain à terme de la diminution puis la disparition des élevages et des pâturages ?

Les magistrats de la Cour des comptes sont donc eux aussi sous l’emprise de la boboterie écolo, végano, gaucho, dingo prétendant diminuer le réchauffement climatique.

Que ne vont-ils traiter de cela chez les Chinois et plus encore en Inde pour persuader les Hindous de ne pas laisser pulluler leurs vaches sacrées ? On verra comment ils seront reçus.

Voici donc venu pour nous le moment où, plus que jamais, il va falloir défendre son beefsteak !

·         Antirusse, non ! Anti-Poutine, oui !

Cela a toujours été notre position. Et voilà que chaque jour un peu plus amène la preuve qu’il n’y a pas que les Ukrainiens (et demain les Polonais, les Baltes, les Georgiens, et autres Caucasiens) à affronter l’impérialisme stalino-poutinien. Il y a aussi, de plus en plus nombreux, des Russes de différentes idéologies, de droite ou de gauche, qui prennent les armes contre la dictature, sans doute plus courageux que les émigrés qui désormais se comptent par centaines de milliers.

Nous reviendrons sur cela.