Le supplice de Lola
La petite Lola, 12 ans, violée, torturée, asphyxiée dans une malle, égorgée.
Un démoniaque acharnement pour la faire souffrir. Indicible cruauté.
Pauvre enfant, livrée au comble de la perversion, de la suffocation, de la terreur, de l’épouvante.
Sa satanique tortionnaire : une jeune femme algérienne théoriquement interdite de séjour en France. Des complices à l’évidence : deux ou trois, la suite de l’enquête le dira. Nés en Algérie également.
Savoir cela n’est pas une explication, du moins suffisante, ce n’est pas une réponse à l’obsédante question : pourquoi ?
Pourquoi pareille cruauté à une telle hauteur du mal, dans l’infinie méchanceté dont l’être humain dénaturé est capable ?
Parce qu’innocente ? Parce que jolie, lumineuse, parce que tout simplement française ?
A la nouvelle de ce crime, pour nous et pour tant d’autres de notre famille du Centre Charlier, l’irruption de la mémoire jamais durablement enfouie du martyre de la petite Jeanne Marie Kegelin; supplice perpétré par le démoniaque gitan Pierre Bodein. Et sans que l’on n’ait jamais appris vraiment, par une enquête très contestée si d’autres gens de sa tribu n’auraient rien su ou vu…
Quoiqu’il en soit, l’obsédante question du pourquoi de pareils crimes rejoint l’universelle interrogation du pourquoi du mal.
Mystère du pourquoi de l’existence de Satan.
Devant ces crimes revient sans cesse l’inépuisable question de leur châtiment.
La peine de mort, nous dit-on, a été remplacée plus humainement par celle de la détention à perpétuité pour les pires criminels. Voire ? La réalité, aujourd’hui chacun le sait, c’est qu’il n’y a plus réellement de peine à perpétuité, incompressible, prévue par notre législation.
Alors, comment ne pas reposer la question du rétablissement de la peine de mort ou du moins de la réelle perpétuité ?
Journée de grève très étendue
Le peuple français n’avait vraiment pas besoin de ça !
Après les années covid, après tant de déchirures de notre tissu industriel, et notamment du saccage de nos industries nucléaires, la grève CGT et autres dans nos raffineries a déjà coûté des centaines de millions d’euros à notre économie.
Et elle coûte cher surtout à des dizaines de millions de Français et d’abord aux plus pauvres. Pas aux dirigeants de Total.
Les patrons de la CGT et ses gros bras néo-bolcheviques nous offrent le spectacle du retour aux vieilles techniques de manipulation et d’intimidation des salariés.
Assemblées « générales » bidonnées, constituées de salariés ultra minoritaires, se déclarant majoritaires à bras levés non comptabilisés, soi-disant démocratie participative. (sic !)
Vieilles méthodes lénino-trotskystes éprouvées…
Face à cela, le virevoltant Macronéron, la si sérieuse dame Borne et leur petit agité du bocal, Gabriel Attal, ne font pas le poids du grand Jules Moch, des années 45, ce socialiste anticommuniste brisant les grèves insurrectionnelles menées par le conglomérat PC-CGT.
Le communisme « immense et rouge », comme disait Mao, et autres totalitaires
Différents médias ont consacré avec raison une large place au 20è congrès du Parti Communiste Chinois autour de son président à vie Xi-Jinping, sans aucun doute le dictateur le plus puissant du monde, bien plus que Mao en son temps.
La Chine rouge avec ses 1,4 milliard d’habitants, avec ses cent millions de membres du parti communiste avec non seulement l’armée la plus nombreuse du moment, sa puissance nucléaire, ses matériels sans cesse améliorés, avec le plus gigantesque système de surveillance des personnes qu’ait connu l’humanité, avec sa police de la pensée constitue à ce jour l’empire totalitaire le plus immense de l’histoire.
Cette Chine, pour l’heure, demeure l’alliée de la Russie de Poutine. Néanmoins, Xi Jinping a maintes fois marqué son irritation vis-à-vis de ce dernier dont il n’apprécie pas l’aventurisme belliciste et qu’il regarde, c’est visible sur les photos de leurs rencontres, avec une sorte de condescendance flegmatique.
Lui, Xi, il attend son heure pour s’emparer de Taiwan qui, il faut le rappeler, n’a jamais fait partie de la Chine populaire.
La Corée-du-Nord du gros poupin Kim-Jong-Un
Le gros poupin, qui collectionne les voitures de grand luxe est aussi un grand passionné de missiles à longue portée susceptibles de transporter des charges nucléaires.
Ainsi n’aime t-il rien tant que de faire lancer ces joujoux désarmés dans les espaces aériens de la Mer de Chine et du Pacifique en général.
Avec pour résultat le fait que la Corée du sud comme le Japon, ne peuvent que s’efforcer de financer des armes de réplique.
La Corée-du-Nord est une très fidèle alliée de Poutine. Sans réserve, inconditionnelle. Elle lui fabrique beaucoup des armes dont il a besoin.
Les autres alliés de Poutine
En première ligne, il y a bien sûr l’Iran islamiste, grande réussite totalitaire également dans laquelle la répression la plus sanglante, par centaines de morts, s’abat contre les femmes héroïques qui ne supportent plus l’esclavage sous couvert des tchadors et contre les hommes, frères, enfants ou maris qui soutiennent leurs femmes, leurs mères ou leurs sœurs.
Cela, bien sûr n’émeut guère ce grand défenseur de la Chrétienté qu’est Poutine.
D’autant que l’allié iranien lui fournit en quantité les redoutables drones Shahed-136 qui, par centaines, s’abattent, sans la moindre justification militaire sur les maisons et immeubles ukrainiens.
Cependant, un très mystérieux incendie s’est propagé dans le très grand centre pénitentiaire d’Evin, au nord de Téhéran, où sont détenus des milliers d’opposants au régime des mollahs. Selon les autorités, le sinistre aurait causé la mort de quatre prisonniers et plusieurs dizaines auraient été blessés.
Selon les milieux d’une opposition évoluant maintenant en une résistance de plus en plus active, ce sont les structures policières du régime qui seraient à l’origine de cet incendie. Ceci afin de susciter de l’angoisse dans la masse des Iraniens qui redoutent l’instauration du chaos dans le pays.
Arménie : acte final du génocide perpétré à partir du 24 avril 1915 à Istanbul jusqu’en 1918 ?
Dans une lettre du 10/10/2022 à Emmanuel Macron l’écrivain et grand reporter Sylvain Tesson, lui demande d’agir avant que le Haut-Karabagh et l’Arménie ne soient définitivement effacés de l’histoire au nom de l’expansionnisme turc.
Il rappelle qu’en attaquant en 1920 le territoire souverain de l’Arménie, « le président de l’Azerbaïdjan s’est rendu coupable d’une forfaiture pas moins barbare-dans son principe et toutes proportions gardées-que celle de Vladimir Poutine… ». Il poursuit : « Vers qui les Arméniens peuvent-ils se tourner ? Les Russes n’appartiennent plus au cercle de la raison. Reste la France.»
Il conjure Macron d’agir autrement qu’en se « contentant d’assister à l’euthanasie historique » de l’Arménie.
On mesure avec ces mots combien Poutine, au lieu de lancer son armée dans les guerres de conquête en Géorgie (Ossétie du nord-Abkhazie) et en Ukraine aurait dû défendre l’Arménie conformément à sa tradition de protection de ce pays et à ses engagements.
Sauver l’Arménie de la sauvagerie des Azéris, on pèse ce que cela veut dire : Jean Christophe Buisson qui était avec Tesson dans ce pays rapporte dans son récit, « le sort réservé à la combattante arménienne Gayané Abgaryan, torturée et démembrée après avoir été capturée, et dont les photos de son corps supplicié ont été publiées par ses bourreaux. »
Rappelons ici que nous avons publié en 2015 le livre « le génocide arménien » (en vente au Centre Charlier 20 euros franco de port).
On y lira que le vocable même de « génocide » a été créé par le grand magistrat juif polonais Raphaël Lemkin après son étude de la gigantesque extermination des Arméniens par les Turcs (plus d’un million et demi de victimes).
Effroyable temps que celui que nous vivons où le génocide arménien connaît une reprise tout comme les Ukrainiens craignent que leur malheureux pays ne vive une continuation poutinienne de l’holodomor par les armes de destruction massive si souvent invoquées par Poutine, Lavrov, Medvedev et les autres…