lundi 18 juillet 2022

La France « coupe-gorge » : une réalité quotidienne hélas, n’en déplaise à Dupont-Moretti.


 

Bernard Antony, président de l’AGRIF, directeur de la revue « Reconquête », communique :

Le triple assassinat de trois jeunes Français perpétré à l’arme blanche à Angers, dans la nuit du vendredi 15 juillet au samedi 16, a évidemment suscité une forte émotion dans cette ville et dans toute la France.

Il faut savoir que, dans l’ensemble de la population de l’hexagone, chaque jour se déroulent plus de cent attaques au couteau, dont plusieurs sont mortelles : ainsi, à Marseille, au mois de mai, le meurtre par un islamiste, au cri de Allahouakbar, d’un médecin militaire accompagnant ses enfants à l’école ; ainsi à Trappes, le 10 juillet, en plein après-midi, celui d’un paisible retraité, Michel R., égorgé près de l’église par Mouhssinek, un délinquant multirécidiviste ; ainsi à Montpellier le 11 juillet, agressée à l’arme blanche encore et blessée, une vacancière à la terrasse d’un café ; ainsi, à Metz, la nuit du 4 juillet, un jeune homme de 22 ans poignardé à mort par deux salopards ; ainsi ce vendredi encore, à Amiens, un Tunisien mortellement frappé au couteau par deux de ses compatriotes clandestins.

Ce sont là les crimes notamment rapportés par « Fdesouche » et commentés ce jour, remarquablement, sous le titre « Barbarie d’atmosphère », par l’éditorialiste du Figaro Vincent Trémolet de Villers.

Mais ajoutons encore, à Issy-les-Moulineaux, l’assassinat de Didier, poignardé et tué par balles dans la rue, en bas de son immeuble, pour avoir demandé à une bande de jeunes de faire moins de bruit ; à Gradignan, une dame également assassinée à l’arme blanche en son domicile par une jeune voisin.

Mentionnons encore qu’à Toulouse, sur la voie publique, un homme était il y a deux jours très grièvement blessé, poignardé à la gorge.  Mais il n’est pas de jour dans cette ville où le quotidien local ne rapporte pareils « faits divers », graves agressions, viols ou assassinats.

Rapportons encore l’agression au couteau, à Mulhouse, le 13 juillet, d’un homme raccompagnant deux jeunes filles à leur domicile.

Mais la liste des crimes qui précède n’est hélas pas exhaustive !

La vérité, c’est que le chiffre de cent meurtres ou tentatives de meurtres en France, quotidiennement, est désormais largement dépassé.

La vérité, c’est qu’avec sa déclaration lors de sa prise de fonction en 2020 selon laquelle « la France n’est pas un coupe-gorge », le ministre de la justice M. Dupont-Moretti a commis un lourd déni de réalité. Et depuis, avec lui les choses n’ont fait qu’empirer.

Revenons maintenant au triple assassinat d’Angers.

Il a été commis par un prénommé Khawad, de nationalité soudanaise, accueilli en France comme « réfugié politique » et déjà connu pour des faits de violence sans avoir été condamné par la justice.

Voilà pourtant ce qui aurait dû entraîner le renvoi dans son pays, le Soudan, de cet étrange « réfugié politique ».

Quant à deux de ses victimes, originaires des îles françaises de Wallis et Futuna, dans le Pacifique, elles appartenaient à cette magnifique communauté que nous connaissons bien, et qui donne à la fois d’admirables soldats de nos troupes d’élite, comme à Angers avec le 6° régiment du génie, et dans notre ville de Castres avec le 8° RPIMA, et de grands rugbymen de nos meilleurs équipes de rugby, tel le « Castres Olympique ».

L’AGRIF, qui naguère, avec succès, a défendu en justice, à Toulouse, l’un d’entre eux, attaqué par une bande de racailles et incroyablement poursuivi par la « justice » pour s’être efficacement défendu, partage le deuil de toute leur communauté.