Il nous aura, « jusqu’au bout », comme il disait, obligé de réutiliser ce qualificatif.
En effet, aujourd’hui, après celle hier de Marine Le Pen, le Figaro publie sa contribution.
Je la commenterai brièvement ce soir sur Radio-Courtoisie dans mon « émission de la Réplique » (à partir de 18h).
Sans attendre, je me contenterai ici de mentionner que sa prose n’est pas, selon son accoutumée, sans rhétorique grandiloquente.
Mais surtout, le voilà, notre Macronéron, reprenant son ignoble pratique de lynchage des « non vaccinés », s’efforçant d’en faire des « boucs émissaires » offerts à la vindicte d’électeurs qu’il espère rallier ainsi à sa deuxième candidature après déjà cinq ans d’abomination nihilistes.
Il ose revenir ici sur son immonde projet « d’emmerder les vaccinés. Jusqu’au bout ».
Il écrit en effet dans une hypocrite jactance sur la liberté l’énormité suivante : « Non pas la liberté du vide, celle qui refusant le vaccin, est en réalité une tyrannie pour les autres » (sic !).
Voilà ainsi à nouveau Macronéron dans le délire de ce que j’ai appelé le totalitarisme vaccinocratique, une insupportable tyrannie en effet d’une majorité « illibérale » comme il dit par ailleurs.
Pour le reste, Macronéron au regard allumé s’étourdit de paroles. Nous en donnerons ce soir un petit florilège.
Ce soir, en deuxième partie (19h30), nous recevrons Henri-Christian Giraud le brillant journaliste et grand historien notamment de la connivence du communisme et du gaullisme.
Son dernier ouvrage, un monument encore, est titré : « Algérie : le piège gaulliste » et sous-titré « Histoire secrète de l’indépendance ».
J’en ai dévoré trois jours durant, les quelques sept cents pages.
Ce livre est venu à point nommé après une campagne présidentielle tout de même marquée chez certains sympathiques candidats par une gaullolâtrie à la longue insupportable.
