· Église catholique : heureusement qu’il y a des laïques pour réagir !
Satanisme : Ainsi, à Nantes, le « concert » sataniste de la chanteuses rock-métal suédoise, Anna von Hausswolff, initialement prévu en l’église Saint-Clément puis, suite à la réaction des fidèles indignés, avait-il été déplacé en l’église de Notre-Dame du Bon Port. Mais, là encore, après les mêmes indignations, a-t-il été finalement interdit. Mais voilà que l’on avait appris que la diabolique artiste pourrait finalement se produire ce 9 décembre en… l’église Saint-Eustache à Paris ! Les fidèles catholiques parisiens n’ont pas davantage toléré que ceux de Nantes ! Le « concert » diabolique est donc pour la troisième fois interdit. Bravo aux protestataires !
Effet de l’altitude ? Une fois encore, c’est une constante, dans un avion le ramenant hier à Rome, en l’occurrence au retour de Grèce, François a fait une déclaration à la presse qui, selon Jean-Marie Guénois, le chroniqueur religieux du Figaro, « a probablement choqué l’épiscopat français ».
En effet, avec le mode de propos patelins dont il a le secret, François, sous le couvert de déplorer la démission de Mgr Aupetit « qu’il a dû accepter » et selon lui imposée « par l’opinion publique, par la rumeur » a, en réalité, porté une méchante estocade à l’ex-archevêque de Paris. Quel besoin avait-il, en effet, d’exposer pour les médias du monde, les détails de l’affaire ayant causé la chute de l’archevêque ? Une fois encore, triste chose pour l’Église catholique.
Pour notre part, nous n’avions guère de considération pour Mgr Aupetit, qui s’était notamment laissé aller à de tristes propos contre les catholiques attachés à la liturgie traditionnelle et refusant pour raison de Covid, la fermeture de leurs églises.
Et nous n’avons pas plus de considération pour l’ensemble d’un épiscopat ayant accepté l’ahurissante reconnaissance de la « responsabilité institutionnelle de l’Église » exigée par le rapport Sauvé.
· Russie
La pression gouvernementale pour que ne soit plus évoquée l’immensité des crimes du communisme et en particulier les dizaines de millions de victimes des exterminations staliniennes, s’affirme de plus en plus en Russie. Aussi, l’étau se resserre-t-il contre l’œuvre de mémoire Pamiat alors qu’une menace de liquidation pèse sur l’ONG Mémorial.
Mais il est vrai que l’on n’a toujours pas enlevé Lénine de son mausolée de la place Rouge. Or, comme l’écrivait le grand Soljenitsyne, « tant que la charogne siliconée de Lénine demeurera en ce lieu, c’est qu’on en aura pas fini avec le communisme ».