Du SPD (social-démocrate) Olaf Scholz ou du CDU (chrétien-démocrate) Armin Laschet, on ne sait pas encore qui succèdera à dame Merkel comme chancelier de l’Allemagne.
Cela m’est pour l’heure indifférent tant rien d’essentiel ne semble permettre a priori une préférence.
Ce n’est qu’à l’usage que l’on pourra s’apercevoir si pour nous Français le personnage désigné après les tractations qui vont s’engager et permettre son élection sera plus ou moins favorable que la chancelière à la cause de l’immigrationnisme, principalement turc.
Car ce n’était pas le moindre paradoxe de cette dernière que de prétendre diriger de fait, sur l’essentiel, à la schlague prussienne, la politique de l’Union Européenne, dans une sorte de partage obligatoire de repentance des crimes du nazisme par les autres pays des 27 !
Autrement dit, une sorte de transfert racialiste, à n’expliquer peut-être que psychanalytiquement, de la culpabilité vis-à-vis des peuples martyrisés du régime hitlérien, sur les masses de la tsunamigration islamiste.
Comme si l’islamisme n’avait pas été historiquement une mine de recrutement pour les divisions SS, bosniaques et autres, par le grand mufti de Jérusalem, Amal Hussein al Husseini, grand admirateur du chancelier Hitler. Et qu’importe si Erdogan, le néo-sultan ottoman, lui, ne veut rien savoir d’une repentance sur le génocide des Arméniens et autres chrétiens de Turquie.
Angela n’a jamais usé à son endroit que d’une indécente politique de soumission. Parfaitement continuée d’ailleurs, comme on l’a vu, au niveau de l’UE par Ursula Von der Leyen !
Certains politologues dénonçaient donc, non sans raison, avec Merkel, le retour d’une « Allemagne impériale ». Mais, somme toute, un impérialisme consistant à ainsi se manifester : « Nous sommes couchés, couchez-vous comme nous ! ».
Angela Merkel, certes prussiennement prude de comportement, a été en réalité ainsi sans cesse indécente politiquement, toujours demeurant dans la conception matérialiste de l‘humanité du régime communiste de la RDA dont elle avait été une zélée collaboratrice. Considérant que les peuples pouvaient être numériquement interchangeables. Et que dix millions d’européens peuvent bien être, sans difficulté, remplacés par dix millions de Turcs…
La vérité, c’est que « Angela », comme l’appelait suavement Nicolas Sarkozy, n’aura été qu’une triste gouvernante totalement matérialiste, mais idéale pour l’entrisme islamo-ottoman.