lundi 17 mai 2021

Le Conseil d’État vigilant pour garantir la liberté de l’obscénité blasphématoire



Bernard Antony communique :

« Jésus est pédé… » : la suite des paroles, qui n’est qu’une misérable continuité d’abjection blasphématoire, nous ne la citerons pas.

Le Conseil d’État a estimé que cette chanson du dénommé Frédéric Fromet contenant certes des « termes souvent obscènes et grossiers » et « malgré leur caractère outrancier »,  ne pouvait être considérée comme « excédant la liberté d’expression » puisque « s’inscrivant dans le cadre d’une séquence à vocation explicitement satirique ».

Autrement dit, selon nos plus hauts magistrats protecteurs des lois de la République, on peut y aller dans la grossièreté, le blasphème, l’obscène, la dérision, l’injure antichrétienne (celle qui ne fait courir aucun risque…) du moment qu’il s’agit d’une expression « à vocation explicitement satirique ». Ainsi l’intention satirique permet tout, excuse tout.

Rappelons donc, satiriquement, qu’il s’agissait en fait de « chanson » d’une vomissure exécratoire diffusée en 2020 dans l’émission de France-Inter intitulée « Par Jupiter » et présentée par la toujours gloussante gallinacée Charline Vanhoenacker, greluche si souvent en folie et quelquefois exhibant ses seins, déjà tristes, en pâmoison devant quelque salacerie de son goût au niveau (ou plutôt au caniveau) de celui des plus archaïques et grasseyants « rads-socs » franmacouillards des loges les plus obscurantistes et passéistes du Grand-Orient, « frangins » bouffeurs de lard le vendredi saint, en débiles agapes.

Il est à noter encore que le CSA, qui peut infliger d’énormes amendes à une chaîne de télévision pour diffusion de propos critiques de la politique d’immigration, n’avait pas jugé bon de sanctionner France-Inter.

Preuve, encore une fois, que le principe de la liberté d’expression souffre en notre République d’énormes exceptions, encadré qu’il est par le respect obligatoire du nouvel ordre moral de l’idéologie de l’antiracisme, ce racisme en sens contraire.

C’est ainsi que les citoyens français sont aujourd’hui souvent menacés, trop souvent frappés par certains magistrats idéologisés dans le sens d’une systématique inversion des valeurs et interprétation subjective et tendancieuse de la loi.

L’AGRIF n’accepte pas cet état de fait et entend œuvrer pour que la liberté d’expression ne soit pas dévaluée en liberté d’exécration, en liberté d’excrémentation contre les valeurs les plus sacrées pour les chrétiens.