vendredi 28 mai 2021

La politique du moindre mâle !

 

On ne le sait que trop, le cœur de cible des convergences révolutionnaires transatlantiques, c’est le mâle blanc hétérosexuel, catégorie chargée de tous les péchés du vieux monde machiste, raciste, esclavagiste, colonialiste, et j’en passe.

Au train où vont les choses, de l’Amérique woke et black lives matter à l’Europe féministocrate et de la domination du transgenre, et de l’homophilie obligatoire, on sent bien que l’on ira bientôt vers l’accomplissement de la nouvelle religion diversitaire, simultanément égalitaire de discours et inégalitaire de réalité, antiraciste de parole et racialiste de pratique.

Sa cohésion va être de plus en plus assurée par l’obligatoire exécration idéologico-médiatique du funeste mâle blanc n’ayant plus, très vite, désormais d’autre fonction que celle de bouc émissaire à usage sacrificiel pour les grandes prêtresses aztéco-soninkés d’aristocratie Traoré qui officieront devant les foules rassemblées de la nouvelle réalité anthropologique planétaire issue du métissage racial obligatoire des « peuplants », fabriqués dans les « lebens born » de la production mondialisée des quotas économiquement nécessaires pour l’optima de service écologique que devra fournir l’ensemble des feminhumains, désormais biologiquement adaptés à la continuité du refroidissement climatique.

Les peuplants en foules rassemblées retiendront ainsi mimétiquement leur souffle lorsque les Assa et les Houria procèderont d’abord à l’émasculation des derniers mâles blancs avant d’en brandir, triomphantes, les attributs exécrés de l’ancestrale domination hétérosexuelle de la blanchitude abhorrée.

Vision pessimiste et quelque peu délirante, on n’en est tout de même pas là, diront certains d’entre vous, amis lecteurs. Peut-être en effet et ai-je sans doute, à des fins caricaturales, grossi le trait de l’actuelle évolution sociétale.

Mais regardez donc la réalité du monde politique. Combien y a-t-il - parmi les dirigeants, les têtes de listes et les candidats - d’hommes blancs « hétérosexuels », quelquefois mariés et ayant quelquefois des enfants ?

L’évidence est criarde : une minorité de plus en plus petite. L’indéniable réalité, sur quelques décennies d’un grand changement ! Et d’autant que, parmi les grands observateurs du « grand remplacement »  de populations, beaucoup ne sont pas forcément des continuateurs de la vie, que l’on rencontre plutôt chez les catholiques de conviction ou dans les minorités des juifs « orthodoxes » ou du moins de fidélité au Décalogue.

Quant aux musulmans, jadis classifiés dans les écoles de la République comme de race blanche, la camarade Houria Bouteldja a désormais à peu près effacé cela avec la réussite chaque jour un peu plus affirmée de son combat contre l’homme « blanc ».

Et d’ailleurs, les islamistes, de plus en plus nombreux, et de plus en plus barbus, ne sont-ils pas aussi, de plus en plus, des hommes noirs ?

Ô certes, très majoritairement  semble-t-il, pas du tout homosexuels !

Mais cela ne nous rassure pas. Car si nous regardons de près aussi les programmes des candidats aux prochaines élections présidentielles, à ce jour du moins, nous n’en trouvons pas pour défendre explicitement le respect de la vie, l’encouragement à la natalité et ne serait-ce qu’une esquisse de début de programme pour faire régresser l’acte de mort qu’est l’avortement.

Or, ce que j’ai appelé, comme je le rappelle souvent, dès 1980 « le génocide français », cela peut se résumer en quelques mots (et en quelques maux !) : immigration, avortement, dénaturation anthropologique.

À quoi il faut bien sûr ajouter le déconstructionnisme de l’abominable Micro-Néron, ce Baal-Macron comme nous le décrivons encore dans Reconquête. Ce triste président de la République qui n’a pas raté encore l’occasion d’une nouvelle vilenie contre l’armée française. Comme si celle-ci avait été en quelque matière que ce soit responsable du génocide au Rwanda !

Comme s’il s’en était allé d’autre chose que d’une abominable extermination de Tutsis par des Hutus, qui ne sont pas de vieilles tribus gauloises, et comme si les quelques unités de l’armée française, la seule envoyée en ce pays, sans grands moyens, n’avaient pas fait tout ce qui était en leur pouvoir pour sauver des vies.