Il est toujours difficile de dire qu’il s’agit du dernier coup de « dinguerie » en date tant se succèdent de plus en plus les « gags » de nous gouvernants, et d’abord du président de la République lui-même.
Le regard de plus en plus allumé, notre Micro Néron élyséen, qui veut s’occuper de tous et de tout « en même temps », a donc annoncé qu’il s’emploierait à prendre « des mesures restrictives » et en même temps « dissuasives » pour empêcher les Français d’aller skier à Noël à l’étranger, notamment en Suisse (et en Andorre aussi, mais cette principauté dont il est « co-prince » serait-elle désormais tenue pour étrangère ?)
Voici donc ce Macron jusqu’il y a peu acharné ennemi mondialiste des frontières, décidé à désormais s’employer précisément dans la charge de « garde-frontières ». Lui qui professait il y a moins d’un an que « les virus n’ont pas de frontières » entend donc maintenant les confiner selon le principe que « chaque virus doit demeurer chez lui ». Pourquoi pas d’ailleurs ? Mais est-ce bien du rôle du chef de l’Etat de s’occuper en personne de cette assignation à résidence pour les virus susceptibles de se prendre d’affection pour de téméraires skieurs ?
Simultanément, comme nous l’avons vu hier, Micro Néron n’entend pas, semble-t-il, revenir sur son ukase de fermeture des bars et des restaurants sur tout le territoire.
Au moment où j’écris, après le désaveu du Conseil d’Etat à la « limitation par 30 », on ne sait toujours pas non plus la teneur du nouveau décret gouvernemental sur la liberté des cultes dans les édifices catholiques.
On m’a rapporté que, vrai de vrai, Castex et Darmanin avaient cru que le chiffre de « trente » ne pouvait que plaire aux catholiques puisque conforme à un concile fondé sur ce chiffre ! (sic)
Dans la ville italienne de Trente, où s’ouvrit le 15 mai 1542 le célèbre concile, grand moment de la Réforme catholique (dite de la « Contre Réforme ») en réaction à la réforme protestante, on a charitablement souri de cette crasse ignorance…
Mais on apprend que dans la même veine des mesures macronomiques et de celles de Castex (« dura Castex sed lex !») la Commission de Bruxelles, devrait publier aujourd’hui « des recommandations sanitaires très restrictives ». Sans doute y pense-t-on, sans qu’il soit besoin de le préciser, qu’elles seront aussi « dissuasives ».
Les inénarrables bureaucrates de l’athéocratie soviétoïde bruxelloise qui ont à peu près la culture religieuse des alligators voudraient en effet que l’Eglise Catholique favorise des Messes de Noël « digitales » (sic), sans participation réelle et en évitant les chorales.
On le voit, le « meilleur des mondes » bruxellois ne cesse de s’améliorer ! On veut espérer qu’il n’y aura pas beaucoup d’évêques pour adopter cette réforme « digitale » de la Messe.
Cependant, voici que l’on nous annonce pour la France la mise sur le marché des vaccins anticovid « première génération » (resic).
Pour ma part, je ne suis pas sur une ligne d’hostilité de principe à tout vaccin. Il y en a eu de très utiles. Et notamment, un des tout premiers, le vaccin « contre la rage ». Je crois d’ailleurs qu’il serait utile de faire des campagnes de piqûres de rappel sur certaines populations qui en ont manifestement besoin : « antifas », « black-blocs », « islamo-jihadistes » !
J’ai été pour ma part, dès mon école primaire (laïque) dans mon village de Bazet vacciné par mes instituteurs tous plus ou moins communiste contre le marxisme-léninisme.
Pour ce qui est de celui de « première génération » contre le covid, je veux être exceptionnellement à la pointe du progrès: je conseille donc de ne pas se précipiter et d’attendre au moins le vaccin de la « 5G » et même de la 6 ou de la 7G, non sans l’espoir que, d’ici-là, le coronavirus se sera enlisé quelque part dans le désert de Gobi !