Qui ne le comprend ?
À écouter les commentaires et lire les journaux, on saisit vite aujourd’hui que ce n’est pas exactement l’élection de Joe Biden que visaient les « démocrates » et « progressistes » de la planète mondialiste.
Car il n’y en a, surtout et partout, que pour Kamala Harris, sa vice-présidente.
Dans l’état actuel des choses, c’est d’abord elle, bien plus que Joe, qui a été élue.
Et Joe ne devrait être qu’un président « potiche ». Kamala Harris, nous dit-on, a été élue parce que femme et parce que « noire ». Mais on précise partout : « pour lutter pour les droits des femmes ». Il faut surtout comprendre par là : les droits des femmes selon l’idéologie abortophile et LGBT, et non les droits des femmes à être aidées pour élever leurs enfants.
Le vieux Joe sait bien sûr que ce que l’on attend désormais de lui, c’est qu’il dégage au plus vite de la présidence (s’il y est confirmé) pour que Kamala Harris lui succède. Ce sera la revanche d’Obama. Pas sûr que ce soit bon pour le peuple américain, blancs ou noirs.