vendredi 17 juillet 2020

Contre la Pologne et la Hongrie, cette criminelle eurocratie !


C’est proprement surréaliste !

Aujourd’hui se tient à Bruxelles un sommet européen des vingt-sept chefs d’État de l’Union Européenne.

À l’ordre du jour, l’emploi du fonds de relance de 750 milliards d’euros, donc de la répartition entre tous les pays. Et voilà que se manifestent encore ceux qui voudraient conditionner le versement de ce qui devrait être versé à la Pologne et à la Hongrie à leur alignement sur les « valeurs démocratiques ».

C’est là, on le sait, la constante de l’indécente, de la rageuse, de la fanatique obsession de la dictature totalitaire qui régit le meilleur des mondes eurocratique. Car ce qu’ils appellent « valeurs démocratiques », ce n’est rien d’autre que le corpus idéologique de la transgression-inversion des anti-valeurs de la connivence LGBT, incluant l’intouchable tabou de la sacralisation de l’IVG et, de plus en plus, de l’euthanasie. 

Il faut y ajouter bien sûr « l’antiracisme » où l’on ne se gêne plus désormais pour le révéler au grand jour tel que dans son intentionnalité longtemps cachée : le racisme antiblanc.

Ainsi, à Bruxelles, on ne s’émeut nullement de la suppression de toute liberté démocratique à Hong Kong, par le régime communiste chinois avec son système de surveillance collective et individuelle, le plus gigantesque jamais élaboré.

On ne s’émeut pas davantage de ce que signifie symboliquement le retour à l’islam de Sainte Sophie de Constantinople, acte glorieux perpétré par le très démocrate frère musulman Erdogan.

On ne s’inquiète pas de ce que signifie de puissance conquérante l’immense réalisation de « la route de la soie », gigantesque entreprise de stratégie chinoise à travers les pays de l’Asie centrale et s’épanouissant dans la Turquie du nouveau sultan, non sans entente intermédiaire avec l’Iran…

Oh bien sûr, quelques eurocrates savent bien que Xi, Erdogan et les autres de la route de la soie ne sont pas des parangons de vertu démocratique mais qu’y faire, ils ont la puissance, ils ont le nombre !

Et qu’y faire si n’existe pas chez eux le millième des libertés de prier, de penser, de créer, de s’exprimer, de manifester, de débattre qui règnent dans ces magnifiques pays de Pologne, et de Hongrie sortis à peine, à la fin du siècle dernier, de l’enfer communiste ?

Mais seulement voilà, l’Europe et les États-Unis doivent être intégralement soumis au nouvel ordre LGBT. Et que la Pologne et la Hongrie ne s’y plient pas, ça fait désordre !


·       14 juillet républicain !

L’immense majorité des Français ignore que ce qui fut initialement célébré en 1790 dans notre fête nationale du 14 juillet, ce ne fut pas la prise de la Bastille mais la « fête de la fédération » qui la commémora l’année d’après.

Aujourd’hui, le texte de la Constitution ne mentionne pas si c’est le 14 juillet 89 ou le 14 juillet 90 qu’on fête la République. Il est simplement fixé que le 14 juillet est le jour de la fête nationale. 

Pour les catholiques, il existe une véritable fête nationale plus ancienne et sans la connotation d’une journée sanglante, c’est selon le vœu de Louis XIII, la fête du 15 août, assomption de la Vierge Marie.

Mais voilà que depuis des années, toujours plus, s’impose comme un retour à la barbarie qui, le 14 juillet 89, suivit la prise de la Bastille, au demeurant vide de prisonniers : scènes de massacres de la garnison, de dépeçage, de cannibalisme…

Aujourd’hui, en effet, bien plus que par la commémoration officielle, le 14 juillet est « célébré » par des violences perpétrées un peu partout en France par toute une faune de jeunes gens en mal de guerre civile.

C’est ainsi que dans des dizaines de villes, des centaines d’incendies de voitures, mais pas seulement, ont été perpétrés, entraînant maints caillassages des pompiers et affrontements avec la police.

On a même vu à Nanterre des racailles faire descendre un conducteur d’autobus  pour incendier son véhicule. L’incendie de voitures ou de bus est ainsi devenu comme une distraction habituelle, sans risque. Or pourtant l’incendie volontaire est un grave et criminel délit. Alors comment se fait-il que l’on n’entende jamais parler des arrestations et des procès qui devraient tout de même s’ensuivre ?

Les juges d’instruction ont tellement d’autres choses à faire…


·       « Vincent Lambert : une mort exemplaire ? »

C’est un grand livre qui, sous ce titre, vient de paraître aux éditions du Cerf.

Dans notre dernière émission ce mercredi sur Radio-Courtoisie, Jérôme Triomphe en a fait un poignant commentaire.

L’auteur en est le professeur d’éthique médicale Emmanuel Hirsch, et le préfacier, l’écrivain Michel Houellebecq. 

Comme l’a dit Jérôme Triomphe, Emmanuel Hirsch, français de confession Juive, a mis tout son poids dans la défense de la vie de Vincent Lambert.

Michel Houellebecq, scandalisé de ce qu’il avait découvert, sur le tard regrettait-il, a travaillé plus de six mois pour écrire cette préface. 

Parmi ceux qui n’ont pas voulu sauver la vie de Vincent, il y a eu hélas de bons catholiques. Mais aussi, bien sûr, madame Agnès Buzyn, juive elle aussi mais pas de la même conviction que le professeur Hirsch.


·       L’impudence algérienne.

L’État algérien, encore et encore, demande des excuses à la France pour son débarquement en 1830. Il ne lui a pas suffi qu’Emmanuel Macron prononce pendant sa campagne électorale ses mots abominables sur « la colonisation, crime contre l’humanité ». En attendant, il nous a envoyé à Marseille plusieurs dizaines de malades du Covid qu’il ne savait pas soigner et dont trois sont morts en arrivant. Depuis, il y a reprise de l’épidémie en Provence…

Si nous avions un chef de l’État digne de ce nom, c’est lui qui demanderait à l’Algérie, puisqu’elle se veut continuatrice des barbaresques d’antan, de regretter la terreur esclavagiste sous contrôle ottoman, qu’ils firent régner pendant des siècles sur nos rivages pour remplir ses bagnes et ses harems d’Alger à Istanbul. 

Mais sur tout cela, je constate que l’Algérienne, payée par la France, Houria Bouteldja, la pasionaria du racisme « antiblanc » ne se décide toujours pas à accepter le débat sur Radio-Courtoisie ou Télé-Libertés que je lui ai naguère proposé.

Allons, Houria, un peu de courage, enfin !