lundi 20 juillet 2020

Partout dans le monde, de la haine antichrétienne


·       Chez nous en France: l’incendie de la cathédrale de Nantes.

Le dernier acte, évidemment criminel, de la haine antichrétienne qui, sous des formes diverses, ne cesse de s’amplifier en France, est l’incendie la cathédrale de Nantes. Un an et demi après celui de Notre Dame dont personne ne saurait sérieusement affirmer avec certitude qu’il fut accidentel.
Mais ce sont aussi deux églises ou plus qui sont chaque jour dévastées, profanées, vandalisées dans notre pays.
Face à cela, l’incurie générale des autorités est patente. Bien sûr, elles ne sauraient rester inertes devant les faits les plus graves que sont les incendies de cathédrales. Mais pour ce qui est des 900 églises et chapelles vandalisées en une année, combien d’enquêtes -si elles sont effectuées-aboutissent-elles à l’interpellation des malfaiteurs ? A l’Agrif, c’est hélas en vain que nous les attendons pour pouvoir ensuite nous porter partie civile et faire condamner les auteurs. Mais les actes de racisme antichrétien n’ont à l’évidence pas la priorité...Pourtant il s’agit bien, la plupart du temps, d’actes relevant de racisme tel qu’il est défini dans la loi.

·       Pologne-Hongrie

Il n’y a pas que la Pologne et la Hongrie à être des nations de l’Europe de l’est détestées par les eurocrates. La Tchéquie, la Slovénie, la Croatie le sont aussi, mais avec moins d’acharnement peut-être en raison de leur moindre puissance et donc moindre résistance au néo-totalitarisme bruxellois. Mais n’est-il pas frappant que les deux nations les plus honnies du meilleur des mondes eurocratique, la Pologne et la Hongrie, soient précisément celles qui ont été également les plus héroïquement résistantes à la domination de l’ordre rouge soviétique. Hongrie du cardinal Mindszenty, Pologne du Cardinal Wyszynski ?


·       L’Arménie attaquée par l’Azerbaïdjan: silence radio !

Une fois de plus, le 12 juillet dernier, l’Arménie a été violemment attaquée par des unités de l’armée azérie.
L’enjeu est toujours celui du Haut-Karabagh, ce territoire de haute montagne peuplé d’Arméniens mais qui fut longtemps sous la domination de l’Azerbaïdjan avant d’être reconquis par l’Arménie.
Et bien sûr, la Turquie appuie l’Azerbaïdjan. 
Observons que ce « réchauffement » du conflit arménien a été splendidement ignoré sur la plupart de nos chaînes. 
La France compte pourtant une assez importante communauté d’origine arménienne, au demeurant aussi patriotiquement française que solidaire du petit peuple de ses origines subsistant dans le Caucase après le génocide perpétré à partir de 1915 par la Turquie.
On peut lire sur cela mon livre « le génocide arménien 1915-2015 »
A Reconquête on a pour projet de publier prochainement un grand dossier sur l’histoire de l’Arménie qui fut le premier Royaume Catholique.

·       PS Interruption de blog
Très pris par notre université d’été qui débutera ce jeudi, et aussi par le « bouclage » d’un livre à paraître, à la rentrée, je ne m’exprimerai à nouveau, par intermittence, sur ce blog qu’à partir du 5 août. 



Bonnes vacances à vous tous amis de la France libre et chrétienne !

vendredi 17 juillet 2020

Contre la Pologne et la Hongrie, cette criminelle eurocratie !


C’est proprement surréaliste !

Aujourd’hui se tient à Bruxelles un sommet européen des vingt-sept chefs d’État de l’Union Européenne.

À l’ordre du jour, l’emploi du fonds de relance de 750 milliards d’euros, donc de la répartition entre tous les pays. Et voilà que se manifestent encore ceux qui voudraient conditionner le versement de ce qui devrait être versé à la Pologne et à la Hongrie à leur alignement sur les « valeurs démocratiques ».

C’est là, on le sait, la constante de l’indécente, de la rageuse, de la fanatique obsession de la dictature totalitaire qui régit le meilleur des mondes eurocratique. Car ce qu’ils appellent « valeurs démocratiques », ce n’est rien d’autre que le corpus idéologique de la transgression-inversion des anti-valeurs de la connivence LGBT, incluant l’intouchable tabou de la sacralisation de l’IVG et, de plus en plus, de l’euthanasie. 

Il faut y ajouter bien sûr « l’antiracisme » où l’on ne se gêne plus désormais pour le révéler au grand jour tel que dans son intentionnalité longtemps cachée : le racisme antiblanc.

Ainsi, à Bruxelles, on ne s’émeut nullement de la suppression de toute liberté démocratique à Hong Kong, par le régime communiste chinois avec son système de surveillance collective et individuelle, le plus gigantesque jamais élaboré.

On ne s’émeut pas davantage de ce que signifie symboliquement le retour à l’islam de Sainte Sophie de Constantinople, acte glorieux perpétré par le très démocrate frère musulman Erdogan.

On ne s’inquiète pas de ce que signifie de puissance conquérante l’immense réalisation de « la route de la soie », gigantesque entreprise de stratégie chinoise à travers les pays de l’Asie centrale et s’épanouissant dans la Turquie du nouveau sultan, non sans entente intermédiaire avec l’Iran…

Oh bien sûr, quelques eurocrates savent bien que Xi, Erdogan et les autres de la route de la soie ne sont pas des parangons de vertu démocratique mais qu’y faire, ils ont la puissance, ils ont le nombre !

Et qu’y faire si n’existe pas chez eux le millième des libertés de prier, de penser, de créer, de s’exprimer, de manifester, de débattre qui règnent dans ces magnifiques pays de Pologne, et de Hongrie sortis à peine, à la fin du siècle dernier, de l’enfer communiste ?

Mais seulement voilà, l’Europe et les États-Unis doivent être intégralement soumis au nouvel ordre LGBT. Et que la Pologne et la Hongrie ne s’y plient pas, ça fait désordre !


·       14 juillet républicain !

L’immense majorité des Français ignore que ce qui fut initialement célébré en 1790 dans notre fête nationale du 14 juillet, ce ne fut pas la prise de la Bastille mais la « fête de la fédération » qui la commémora l’année d’après.

Aujourd’hui, le texte de la Constitution ne mentionne pas si c’est le 14 juillet 89 ou le 14 juillet 90 qu’on fête la République. Il est simplement fixé que le 14 juillet est le jour de la fête nationale. 

Pour les catholiques, il existe une véritable fête nationale plus ancienne et sans la connotation d’une journée sanglante, c’est selon le vœu de Louis XIII, la fête du 15 août, assomption de la Vierge Marie.

Mais voilà que depuis des années, toujours plus, s’impose comme un retour à la barbarie qui, le 14 juillet 89, suivit la prise de la Bastille, au demeurant vide de prisonniers : scènes de massacres de la garnison, de dépeçage, de cannibalisme…

Aujourd’hui, en effet, bien plus que par la commémoration officielle, le 14 juillet est « célébré » par des violences perpétrées un peu partout en France par toute une faune de jeunes gens en mal de guerre civile.

C’est ainsi que dans des dizaines de villes, des centaines d’incendies de voitures, mais pas seulement, ont été perpétrés, entraînant maints caillassages des pompiers et affrontements avec la police.

On a même vu à Nanterre des racailles faire descendre un conducteur d’autobus  pour incendier son véhicule. L’incendie de voitures ou de bus est ainsi devenu comme une distraction habituelle, sans risque. Or pourtant l’incendie volontaire est un grave et criminel délit. Alors comment se fait-il que l’on n’entende jamais parler des arrestations et des procès qui devraient tout de même s’ensuivre ?

Les juges d’instruction ont tellement d’autres choses à faire…


·       « Vincent Lambert : une mort exemplaire ? »

C’est un grand livre qui, sous ce titre, vient de paraître aux éditions du Cerf.

Dans notre dernière émission ce mercredi sur Radio-Courtoisie, Jérôme Triomphe en a fait un poignant commentaire.

L’auteur en est le professeur d’éthique médicale Emmanuel Hirsch, et le préfacier, l’écrivain Michel Houellebecq. 

Comme l’a dit Jérôme Triomphe, Emmanuel Hirsch, français de confession Juive, a mis tout son poids dans la défense de la vie de Vincent Lambert.

Michel Houellebecq, scandalisé de ce qu’il avait découvert, sur le tard regrettait-il, a travaillé plus de six mois pour écrire cette préface. 

Parmi ceux qui n’ont pas voulu sauver la vie de Vincent, il y a eu hélas de bons catholiques. Mais aussi, bien sûr, madame Agnès Buzyn, juive elle aussi mais pas de la même conviction que le professeur Hirsch.


·       L’impudence algérienne.

L’État algérien, encore et encore, demande des excuses à la France pour son débarquement en 1830. Il ne lui a pas suffi qu’Emmanuel Macron prononce pendant sa campagne électorale ses mots abominables sur « la colonisation, crime contre l’humanité ». En attendant, il nous a envoyé à Marseille plusieurs dizaines de malades du Covid qu’il ne savait pas soigner et dont trois sont morts en arrivant. Depuis, il y a reprise de l’épidémie en Provence…

Si nous avions un chef de l’État digne de ce nom, c’est lui qui demanderait à l’Algérie, puisqu’elle se veut continuatrice des barbaresques d’antan, de regretter la terreur esclavagiste sous contrôle ottoman, qu’ils firent régner pendant des siècles sur nos rivages pour remplir ses bagnes et ses harems d’Alger à Istanbul. 

Mais sur tout cela, je constate que l’Algérienne, payée par la France, Houria Bouteldja, la pasionaria du racisme « antiblanc » ne se décide toujours pas à accepter le débat sur Radio-Courtoisie ou Télé-Libertés que je lui ai naguère proposé.

Allons, Houria, un peu de courage, enfin !
  



   


lundi 13 juillet 2020

Gloire à la séculaire résistance polonaise !

 
« Nous sommes tous des patriotes et des catholiques polonais ! »
La réélection d’Andrzej Duda à la présidence de la République polonaise est une magnifique victoire du patriotisme polonais, rempart de la liberté, contre lequel s’étaient pourtant massivement et fanatiquement liguées toutes les forces politico-médiatiques du « meilleur des mondes » totalitaire et de l’eurocratie en particulier.

Il n’était aujourd’hui que de constater d’abord le silence sur France-Inter puis les commentaires fielleux et rageurs sur cette victoire, présentée comme un semi échec voire un échec des forces conservatrices polonaises, refusant insupportablement la pourtant si nécessaire soumission au nouvel ordre mondial de la révolution sociétale L.G.B.T.

Au moment où monsieur Erdogan, l’arrogant néo-sultan ottoman, vient impudemment de retransformer en mosquée la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, on ne saurait oublier, comme le rappela saint Jean-Paul II dans son dernier ouvrage Mémoire et Identité, que ce fut « Jean III Sobieski qui sauva l’Europe du danger ottoman à la bataille de Vienne en 1683. Victoire qui éloigna ce danger de l’Europe pour une longue période »

La Pologne atrocement écrasée en 1939 par les forces conjointes d’Hitler et de Staline puis se libérant ensuite dans les années 1985-1990 de la longue oppression de l’ordre rouge, s’avère encore aujourd’hui magnifiquement une admirable patrie où s’incarnent puissamment les forces de la foi, de la liberté, du respect de la vie et de la dignité humaine.

Aussi, pouvons-nous toujours scander avec joie : « Nous sommes tous des catholiques polonais ! »

 http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=224:gloire-a-la-seculaire-resistance-polonaise&Itemid=385&auid=1512