Comme je le prévoyais dans mon
éditorial de la Griffe, le corona-virus pouvait en cacher d’autres.
Et voici qu’à peine entrée dans
sa phase terminale, l’épidémie coronarienne a laissé place à un gros tsunami
médiatique transatlantique du virus hystérisant de cet
« antiracisme » qui, redisons-le, est un racisme en sens contraire.
Le coronavirus est, comme tout
virus, infiniment petit. Eh bien, on vient de le constater, le déconovirus
antiraciste peut subitement s’enflammer chez nous à partir d'un non-événement,
à partir d'un amalgame entre deux faits très dissemblables perpétrés à des
années de distance, l’un en Amérique, l’autre en France ; coagulés sur le
fon de connivence d’une médiacrassie internationale nihiliste dans une
mirobolante opération de désinformation à visée de sidération terrorisante des
populations « non-racisées » et pas encore soumises ; comme cela
est exprimé dans le jargon idéologique du racisme anti-blanc de la pasionaria
islamo-gauchiste Houria Boutelja.
L’opération se déroule il est
vrai, et heureusement, bien plus dans le virtuel que dans la réalité.
Ainsi, on nous avait annoncé sur France-Inter
et quasiment toutes les chaines « en continu » que contre le « racisme »
et Donald Trump allait déferler à Washington la plus gigantesque manifestation
de toute l’histoire des États-Unis. Il y a certes eu des cortèges nombreux,
nullement un raz de marée. Et cela parce qu’on nous ment sur la réalité américaine
qui est loin de n’être que celle de la lutte des races ; qu’on nous ment
sur la criminalité, celle-ci étant très multiraciale ; qu’on nous ment sur la violence policière comme s’il
n’y avait aux États-Unis que des policiers blancs alors qu’il suffit de se
promener dans les rues de New-York ou de Washington pour constater la
proportion importante de policiers noirs.
Et on nous ment encore plus massivement sur « l’affaire »
Adama Traoré !
Comme si les circonstances du
décès de ce personnage n’avaient pas été minutieusement analysées, non
seulement par l’I.G.P.N (qui n’est pas une institution raciste !) mais aussi
par plusieurs magistrats d’une magistrature qu’il est vraiment difficile de
suspecter de racisme !
Et on ment aux Français en
occultant le fait qu’Adama Traoré était, non pas un « petit délinquant »,
mais un lourd délinquant multi-récidiviste, comme le sont ses frères, Yacouba,
Youssouf, Cheikné, Samba et Bagui. Ces frangins constituaient avec Adama le
gang « Traoré » faisant, depuis dix ans, régner la terreur à
Beaumont-sur-Oise. Mais leur sœur Assa Traoré, promue hégérie de l’anti-racisme
anti-blanc, n’en éprouvera que de la fierté.
Désormais il est vrai, dans cet « antiracisme »,
ne qualifie-t-on pas de racistes ceux qui dénoncent les « pillages »
perpétrés par la faune des émeutiers ? En effet, ce n’est pas de pillage
qu’il faut parler mais de « réappropriation », comme l’explique
doctement dans Libération une certaine Esther Cyna.
Tout cela réjouit la camarade
islamo-gauchiste algérienne Houria Bouteldja, toujours payée par la France à l’Institut
du monde arabe. Elle se félicite dans un communiqué hostile à « la gauche
blanche dans ses basses œuvres » et annonce la progression de la « force
indigène ». « Ca viendra, inch’ Allah » écrit-elle en son sabir,
poursuivant : « Les manifs de sans pap et le rassemblement historique du
comité Adama sont des signaux qui vont dans cette direction ».
Nous, nous savons la direction qu’un
Etat digne de ce nom devrait faire prendre à cette fanatique propagandiste du
racisme anti-blanc : droit vers le Sud !
PS : notre petit ouvrage : « Vérités
sur les esclavagismes et les colonialismes – Réplique à Houria Bouteldja »
est toujours en vente au Centre Charlier (18 euros franco).