jeudi 14 mai 2020

La question de l’écologie


« A quelque chose, malheur est bon » :

Plusieurs commentateurs ont noté le bienfait écologique qu’aurait constitué l’interruption d’activité industrielle due au grand confinement.

Je crois qu’il y a du vrai dans cette observation car je constate pour ma part une agréable prolifération des oiseaux les plus divers autour de ma maison et dans ma campagne. Mais au-delà de cela, cette période ne semble pas avoir été une source de réflexions pour les idéologues de la faune de l’écololâtrie gaucharde et notamment de l’inversion féministe néo-marxiste.

Ainsi dans le plus totale mépris de l’écologie humaine, les sorcières de la macronie et de la mélanchonerie ont-elles manifesté leur angoisse devant les éventuelles difficultés qu’auraient pu rencontrer en ce moment, des femmes désireuses de supprimer les enfants conçus qu’elles portent en elles. 

L’avortement constitue pourtant la plus grande atteinte qui soit perpétrée contre la vie.
Les idéologies matérialistes ont toutes entraîné une infinité de crimes. Mais sans oublier les ravages aux appétits d’un libéralisme sans frein, c’est bien le socialisme-marxisme qui a entraîné à ce jour les plus gigantesques désastres de l’inversion écologiste.

La mention de deux sites suffit à évoquer cela : mer d’Arral et mer Morte.

Souvenons ; les jeunesses soviétiques (les komsomols) chantaient que dans les lendemains radieux du socialisme, l’homme, à son gré, aplanirait des montagnes, détournerait des fleuves …

Bref, le mythe de « l’homme crée créateur » selon Marx et Jean-Paul Sartre.

Résultat : l’URSS de Staline a presque asséché la Mer d’Arral et les socialistes marxistes du sionisme de gauche ont presque asséché la Mer Morte. Dans les deux cas, un immense désastre écologique. Ce ne sont que deux exemples, parmi tant d’autres, de la perversité de l’homme apprenti sorcier.

Notre merveilleux ami, le poète et chanteur Pierre Dudan, d’origine russe, aimait dire de Lénine : « Un Russe ? Non, un virus ! ».

C’est sur la nécessité de la résurrection d’une écologie authentique, donc d’abord d’une écologie de défense de la nature humaine que nous préparons le prochain numéro de Reconquête.

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