lundi 24 février 2020

Plus que jamais le nécessaire procès international des crimes communistes contre l’humanité !


Parti doublement collabo, et du communisme et du nazisme par le fait du pacte criminel Hitler-Staline de 1939, le parti communiste français aura cent ans à la fin de cette année. C’est en effet dans la dernière semaine de 1920 que les léninistes s’emparèrent du parti socialiste S.F.I.O lors du congrès de Tours pour le transformer en parti communiste français (P.C.F).

Trois ans auparavant, le 26 octobre 1917 (dans le calendrier orthodoxe), le 7 novembre dans le calendrier grégorien, la révolution léniniste avait triomphé à Saint Pétersbourg.

La veille même de la réussite du coup d’état, Lénine avait confié à Félix Dzerjinski la mission de créer la Tchéka, la police politique la plus massivement tortionnaire et massacreuse qui ait jamais été, et la plus durable aussi puisqu’elle a subsisté, sous différents sigles (G.P.U, N.K.V.D, K.G.B, F.S.B), certes moins exterminatrice, jusqu’à notre époque, où, le président Poutine, qui fût colonel du K.G.B, réunit les « anciens » dans le grand salon d’honneur de la « Loubianka » pour honorer la mémoire de Dzerjinsk sous le grand tableau qui le représente.

Dans les souterrains de cet immeuble entièrement organisé dès 1918 pour le fonctionnement de la terreur, de la torture et des exécutions, cinq millions de russes furent assassinés en application des ukases de Lénine puis de Staline. Cependant que des dizaines de millions d’autres allaient être exterminés dans les exécutions de masses, les famines, et que plus de quatre millions encore allaient périr parmi les dix- huit millions de déportés dans les camps du « goulag » créé par la Tchéka.

C’est le 5 mars 1940 que les membres du Politburo du Parti Communiste de l’U.R.S.S appliquèrent un ordre ultra secret de Staline de fusiller à Katyn et autres lieux de mise à mort, 14 700 officiers polonais faits prisonniers lors de l’invasion de la Pologne à l’ouest par les nazis, à l’est par les soviétiques. Double invasion chaudement approuvée par le parti communisme français.

C’est en décembre 1979 que les dirigeants de Chrétienté-Solidarité lancèrent l’appel du comité pour le boycott international des jeux olympiques à Moscou prévus l’année d’après. C’est en janvier 1980 qu’ils le diffusèrent massivement, réunissant le 28 avril suivant au palais de la Mutualité à Paris une très grande réunion de dénonciation des crimes contre l’humanité du Communisme avec des représentants des résistances partout dans le monde.
Chrétienté-Solidarité milita alors pour la constitution d’un tribunal international destiné à faire le procès de ces crimes.

Quelques années plus tard à la Mutualité, le 9 novembre 1997, soixante-dix ans et deux jours après la victoire léniniste en Russie, Chrétienté-Solidarité organise une grande journée symbolique de ce que devrait être le nécessairement très long procès par tribunal international constitué pour juger d’un siècle de crimes contre l’humanité du communisme. Avec plus de cent millions de morts et des victimes innombrables dans tant de pays.

Il y fut jugé du cas emblématique français du traître Georges Boudarel, le commissaire politique tortionnaire ayant sévi au camp 113, au service du Vietminh en Indochine.

Les survivants de ce camp y furent dans la même proportion que ceux d’Auschwitz.
Mais, scandaleusement, Boudarel, bénéficiant de hautes complaisances n’avait pas été poursuivi par la « justice » française.

Le tribunal pour l’honneur et la mémoire fut présidé par le grand avocat, héros de la seconde grande guerre et de la résistance, Maître Jean-Baptiste Biaggi. On y entendit longuement quelques uns des rares survivants comme l’ambassadeur Charles Jeantelot et l’illustre commandant Ivan Tommasi. Il revint à Maître Biaggi de prononcer une sentence pour l’histoire de condamnation du criminel Boudarel à l’indignité nationale.

Fin 2020, le Parti communiste français doublement collabo, inconditionnel des gigantesques crimes de Staline, aura cent ans.

Le comité en cours de constitution pour la vérité sur un siècle de communisme organisera notamment la journée de mémoire qui s’impose en France.

Le procès international des crimes contre l’humanité du communisme demeure une nécessité pour l’histoire.

Premiers appelants : Bernard Antony,                                                                                                                président de chrétienté solidarité                                                                                   président de l’Agrif
                                    Marek Jurek, député polonais au parlement européen, ancien président de la Diète.