Mila est cette jeune
fille âgée de 16 ans qui, excédée par les « propositions » d’un jeune
musulman mal éduqué, a fini par lui répliquer vertement avec des arguments pas
très idéologiquement corrects pour l’islam.
Ceci a valu à Mila un
déferlement de haine, de menaces de viol et de menaces de mort.
· Aujourd’hui, encore
toujours ministre de la Justice, madame Nicole Belloubet, aussi juridiquement
ignare que culturellement indigente, avait réagi en déclarant : « L’insulte à la religion, c’est évidemment
une atteinte à la liberté de conscience, c’est grave ».
Curieuse logique, car s’il
y a eu de la part de Mila un usage peut-être excessif de la liberté d’expression,
on ne voit pas en quoi elle a porté atteinte à cette liberté !
Madame la Garde des
Sceaux semble être très fatiguée dans son exercice du raisonnement.
Que n’a-t-elle émis d’ailleurs
pareil propos lorsque le torchon Charlie a, le 13 mars dernier, publié sur
toute sa couverture la caricature du Christ en croix, la plus obscènement, la
plus abjectement immonde qu’un cerveau dégoulinant de haine pornocratique
contre le Christ puisse excrémenter ?
· Mais voilà qu’un
extraordinaire imbécile de député Modem, parlant de Mila Nicolas Turquois a osé
proférer que " si une personne avait
fait (sic !) les mêmes propos à l’égard de la religion catholique, elle
aurait reçu les mêmes menaces ».
Il n’a pas remarqué que
nulle menace de mort n’a été proférée à l’encontre de la « dessinatrice »
dans Charlie de cette abomination raciste non seulement antichrétienne mais
antihumaine.
L’AGRIF a donc
simplement déposé alors la plainte qui s’impose
selon le droit.
Dans le sillage de
madame Belloubet, le Parquet de Vienne avait annoncé deux procédures dans l’affaire :
l’une contre les menaces de mort contre Mila, l’autre pour établir si les propos
de cette dernière relevaient de la « provocation à la haine raciale ».