lundi 7 octobre 2019

« Déséquilibrés » et « radicalisés » : les mensonges de « l’antiracisme ».


Point n’est besoin d’y revenir plus longuement si ce n’était tragique : la répétition systématique de l’explication politico-médiatique des assassinats et massacres par de malheureux « déséquilibrés » relève désormais tellement du ridicule que plus personne ne prend au sérieux les déclarations des autorités judiciaires et gouvernementales.

Tout le système de la pensée unique de l’idéologie de l’antiracisme vise en effet à marteler incantatoirement qu’il n’y aurait aucun rapport entre l’idéologie islamique et ces faits. Ce, dans le plus total déni de la réalité de tant de textes d’appel à la violence dans le Coran et les Hadîths.

Comment se fait-il donc que la plupart des assassinats et massacres perpétrés par des réputés « déséquilibrés » s’avèrent presque toujours, répétitivement, le fait de musulmans dits « radicalisés » ?

La question se pose avec acuité car, à l’évidence, les effets d’une radicalité de convictions semblent bien différents dans l’islam et dans les autres religions. 

Entendons-nous par exemple fréquemment parler d’agressions, de meurtres, de massacres perpétrés par des bouddhistes en raison de leurs convictions ? Ces derniers sont pourtant nombreux en France. La réponse tient en un mot : « jamais » ! 

Quant à la radicalité chez les chrétiens elle existe discrètement mais admirablement. Elle s’exprime notamment dans l’amour de Dieu et des hommes par d’héroïques renonciations. C’est par exemple le choix de l’entrée au Carmel ou à la Chartreuse ou dans d’autres communautés de la vie contemplative ou bien encore celui de la vie érémitique.

On n’a jamais entendu dire que des chartreux, des bénédictins, des ermites aient égorgé qui que ce soit en hurlant « Dieu est le plus grand ». La radicalité catholique, c’est le modèle de mère Térésa. C’est bien sûr celui de saint François d’Assise ou de saint Vincent de Paul, ou de saint Maximilien Kolbe. L’Évangile peut certes rendre fou, mais fou de l’amour de Dieu et du prochain.

En un siècle, du fait du communisme, des millions de chrétiens ont été exterminés de par le monde. Mais des centaines de milliers aussi du fait de l’islam jihâdiste. Or celui-ci est propagé dans des milliers de mosquées salafistes en Asie, en Afrique, en Europe et son terrorisme financé par des États richissimes et puissants. 

Il y a bien sûr de bons et honnêtes musulmans. Il n’est pas sûr que ce soit grâce à ce qu’enseignent le Coran, les Hadîths et la charia. N’est-ce pas plutôt malgré les innombrables versets de haine qui s’y trouvent ?

Enfin, les imbéciles et les ignorants qui nous gouvernent et qui nous désinforment s’avisent-ils de la réalité que les plus « radicalisés » des « radicalisés » sont ceux qui pratiquent, et souvent longtemps, la taqiya,  l’art de la dissimulation prescrit par le Coran ?

Mais ni Castaner, ni Macron ne perdront du temps à aller s’instruire de ce que recommandent les livres sacrés de la religion d’Allah et de Mahomet son prophète.

Leur tranquille et suffisante ignorance les met ainsi à l’abri de tout regard critique sur l’islam par lequel pourrait germer quelque début de ce que l’antiracisme dénonce comme le grave délit d’islamophobie ?