Point n’est besoin d’y
revenir plus longuement si ce n’était tragique : la répétition
systématique de l’explication politico-médiatique des assassinats et massacres
par de malheureux « déséquilibrés » relève désormais tellement du
ridicule que plus personne ne prend au sérieux les déclarations des autorités
judiciaires et gouvernementales.
Tout le système de la
pensée unique de l’idéologie de l’antiracisme vise en effet à marteler
incantatoirement qu’il n’y aurait aucun rapport entre l’idéologie islamique et
ces faits. Ce, dans le plus total déni de la réalité de tant de textes d’appel
à la violence dans le Coran et les Hadîths.
Comment se fait-il donc
que la plupart des assassinats et massacres perpétrés par des réputés « déséquilibrés »
s’avèrent presque toujours, répétitivement, le fait de musulmans dits « radicalisés » ?
La question se pose avec
acuité car, à l’évidence, les effets d’une radicalité de convictions semblent
bien différents dans l’islam et dans les autres religions.
Entendons-nous par
exemple fréquemment parler d’agressions, de meurtres, de massacres perpétrés
par des bouddhistes en raison de leurs convictions ? Ces derniers sont
pourtant nombreux en France. La réponse tient en un mot : « jamais » !
Quant à la radicalité
chez les chrétiens elle existe discrètement mais admirablement. Elle s’exprime
notamment dans l’amour de Dieu et des hommes par d’héroïques renonciations. C’est
par exemple le choix de l’entrée au Carmel ou à la Chartreuse ou dans d’autres
communautés de la vie contemplative ou bien encore celui de la vie érémitique.
On n’a jamais entendu
dire que des chartreux, des bénédictins, des ermites aient égorgé qui que ce
soit en hurlant « Dieu est le plus grand ». La radicalité catholique,
c’est le modèle de mère Térésa. C’est bien sûr celui de saint François d’Assise
ou de saint Vincent de Paul, ou de saint Maximilien Kolbe. L’Évangile peut
certes rendre fou, mais fou de l’amour de Dieu et du prochain.
En un siècle, du fait du
communisme, des millions de chrétiens ont été exterminés de par le monde. Mais des
centaines de milliers aussi du fait de l’islam jihâdiste. Or celui-ci est
propagé dans des milliers de mosquées salafistes en Asie, en Afrique, en Europe
et son terrorisme financé par des États richissimes et puissants.
Il y a bien sûr de bons
et honnêtes musulmans. Il n’est pas sûr que ce soit grâce à ce qu’enseignent le
Coran, les Hadîths et la charia. N’est-ce pas plutôt malgré les innombrables
versets de haine qui s’y trouvent ?
Enfin, les imbéciles et
les ignorants qui nous gouvernent et qui nous désinforment s’avisent-ils de la
réalité que les plus « radicalisés » des « radicalisés » sont
ceux qui pratiquent, et souvent longtemps, la taqiya, l’art de la dissimulation prescrit par le Coran ?
Mais ni Castaner, ni
Macron ne perdront du temps à aller s’instruire de ce que recommandent les
livres sacrés de la religion d’Allah et de Mahomet son prophète.
Leur tranquille et
suffisante ignorance les met ainsi à l’abri de tout regard critique sur l’islam
par lequel pourrait germer quelque début de ce que l’antiracisme dénonce comme
le grave délit d’islamophobie ?