À propos de l’individu
afghan qui, à Villeurbanne, a assassiné ce dernier samedi un jeune homme de 19
ans et blessé huit autres personnes dont trois grièvement, le procureur de Lyon
Nicolas Jacquet
a d’abord révélé que son premier signalement sur le sol français datait de 2009
« alors qu’il était mineur » ; précisant ensuite : « Il est connu sous deux noms et trois dates
de naissance le créditant de l’âge de 33, 31 et 27 ans et n’aurait pas d’antécédents
judicaires ».
Or c’est l’âge de 33 ans
qu’il a retenu. Dans ce cas, l’assassin n’étant évidemment pas mineur en 2009 !
Il n’a pas non plus
précisé comment deux noms pouvaient coïncider avec trois dates de naissance.
Mystère afghan et mystère de notre droit d’asile…
Selon le procureur, l’assassin
tenait « des propos teintés de
religion mais tellement décousus et si peu structurés qu’il est difficile à ce
stade de l’évaluation d’en déduire un profil terroriste ». Il semblerait
donc que pour ce procureur, le terrorisme ne puisse être compatible avec l’irrationnalité…
Ce qui est tout de même
très irrationnel, c’est que l’assassin, après avoir pu se balader à son gré en Italie,
en Allemagne, en Norvège, au Royaume-Uni, ait pu encore disposer en France de l’hébergement
dans un foyer pour demandeurs d’asile.
Les Afghans qui ont servi d’interprètes et de
conseillers à nos soldats n’ont pas tous eu cette chance ! Ils ont été
ignominieusement abandonnés à leur sort, les visas pour la France leur ayant
été refusés.
Décidément, la
préférence pour nos ennemis est devenue une constante de l’État français. Je me
propose de revenir sur cela ultérieurement.